L'auteur retrace les épisodes bibliques de l'ivresse en articulant ces récits avec les commentaires du Talmud, du Midrash puis des psychologues et autres auteurs, dressant un tableau multicolore visant à distancer les jugements moraux (positifs ou négatifs) sur l'ivresse. En effet, selon l'auteur, la Bible elle-même ne condamne pas l'ivresse, pas plus qu'elle n'en fait un outil de "communication avec les dieux". L'alcool est un plaisir pour l'homme, qui doit apprendre à en user en toute conscience, rien que pour son plaisir.

Des références très intéressantes, des croisements culturels riches et des réflexions qui aident à penser.

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