Une nouvelle de Giono qui se veut exemplaire : un berger plante obstinément des glands ou des faînes dans une terre aride, désolée, désertée par les hommes.
Au bout de quelques dizaines d’années il a fait naître une forêt, l’eau est revenue dans les ruisseaux et les fontaines, retenue par les arbres, puis les hommes ont fait revivre le pays.
Un conte plein d’optimisme, bien écrit, agréable à lire. Mais que prouve-t-il, malgré la conviction de son auteur ?
On peut le lire sur la toile, par exemple
là
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