La narratrice est pensionnaire dans un pensionnat de jeunes filles dans la région d’Appenzell. Une nouvelle pensionnaire arrive, et la narratrice est fascinée par son côté solitaire et mystérieux.
Voici un livre où tout réside dans l’ambiance feutrée et spéciale des pensionnats, ainsi que dans l’état d’esprit des adolescents. Et il se dégage indubitablement quelque chose de ce livre – à commencer par une immense tristesse.
En revanche, c’est typiquement un livre dont ma lecture a été gâchée par le fait que je l’ai lu dans le métro : une lecture très hachée (j’ai deux changements!) et un lieu peu propice à la rêverie ne convient pas à ce genre de livre très court, où il s’agit d’entrer dans un monde et son atmosphère. J’ai l’impression d’avoir terminé le livre avant d’avoir pu rentrer dedans.
Je l’aurai probablement bien mieux apprécié si je l’avais tranquillement lu chez moi lors d’un dimanche pluvieux…
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