Il y a d’abord le dessin. Une vraie réussite, mais on ne s’en étonne plus avec Bilal. Les couleurs grises rehaussées uniquement de quelques touches de couleurs servent à merveille cette histoire glauque de fin du monde ou quelques hommes mutants tentent de survivre. Une indéniable réussite.
Ensuite il y a l’histoire. On entre lentement dans ce monde étrange qui devient vite envoutant mais qui malheureusement reste assez hermétique. Comme si il me manquait une clé pour décrypter un message caché que je n’ai pas réussi à comprendre. Malgré tout, ce roman graphique m’a fortement séduit même si je reste assez déçu par la fin.
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