La maladive Jeanne, âgée de 12 ans, aime de façon exclusive et tyrannique sa mère, le belle Hélène. Quand cette dernière cèdera à la passion du docteur Henri Deberle, Jeanne ne se croyant plus aimée succombera.
Je retiendrai de ce roman que Zola peut écrire de belles pages, comme l'épisode de la balançoire, même si le tragique reste inévitable. A mon goût, de trop longues descriptions de Paris vu de Passy.
----
[Recherchez la page de l'auteur de ce livre sur
Wikipedia]
Afficher toutes les notes de lectures pour ce livre