La critique (donnée en résumé) parue dans le Figaro Magarine est très brillante. Que dire de plus ou de"moins ? Sinon que oui,Luccia Etxchebarria rappelle la flamboyance un brin "dégénérée" de Pedro Almodovar, comme le sieur Pedro aurait pu mettre en images cet "Amour, Prozac et autres curiosités"A ajouter que le roman nous plonge dans l'amères surprises, des réalités qui s'appellent déséquilibre mental consécutif à un traumatisme inhibé. Alors c'est une image de l'après Movida, peut-être, entre explosion et désillusion. C'est aussi la parole d'une femme qui donne à penser, surtout aux hommes si basiques et si dangereux, par nature.
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