[The Blonde | Duane Swierczynski, Sophie Aslanides (Traducteur)]
Quatrième de couverture
Un soir au bar d’un aéroport, Jack Eisley discute avec une jolie blonde. Certes, Jack a femme et enfant, mais quel mal y a-t-il à flirter un peu ? Tout ça est bien innocent, sans conséquence… enfin, jusqu’au moment où la jolie blonde lui glisse : « Je viens d’empoisonner votre verre. » Certes, elle pourrait lui donner un antidote, mais à la condition que Jack l’accompagne à son hôtel et reste auprès d’elle, faute de quoi il mourra. Jack la catalogue parmi les folles et s’en va. Une heure plus tard, conformément aux explications de la blonde, il commence à ressentir les symptômes de l’empoisonnement ; douleurs, vomissements, convulsions… et n’a d’autre choix que de la retrouver ! Avec dans la tête cette angoissante question : Mais enfin, qu’est-ce qu’elle me veut, celle-là ?
Pendant ce temps, Kowalski, mystérieux agent secret un rien bizarre, est chargé de subtiliser à titre « d’échantillon » la tête d’un professeur récemment décédé, ce qui ne va pas sans difficultés logistiques – d’autant que la chance n’est pas de son côté. A la croisée des destins de Jack et de Kowalski, une sombre machination scientifico-policière aussi délirante que futuriste.
Mon avis ;
Jack Eisley va mal, il commence à ressentir les premières nausées, prévues par la jeune femme. La nuit ne fait que commencer, Jack va croiser la route de Mike Kowalski, tueur d’une agence gouvernementale archi secrète.
La femme est infestée de nano-machins, qui si elle se trouve, seule quelques minutes , risquent de la tuer.
Le concept est farfelu, mais reste cohérent.
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