J'ai trouvé ce livre trop long, les histoires de Mariam et de Laila trop "exemplaires", mais ce livre m'a intéressée par la peinture de la condition féminine sous certains régimes (je me demande parfois si ce n'est pas exagéré et si l'auteur n'a pas d'intention polémique, mais d'autre part sa collaboration avec l'Onu dans les camps de réfugiés a dû lui permettre de constater de visu ce qu'il décrit) et surtout par la relation des différents événements qui ont secoué l'Afghanistan, de la royauté jusqu'à l'attaque du régime taliban par les américains.
Je crains seulement que la note d'espoir à la fin du livre ne soit trop optimiste....
Commentaires de Gérard :
Effectivement, la fin paraît exagérément optimiste et, même si elles sont très dures et (malheureusement) probablement réalistes, les descriptions de la vie des femmes afghanes semblent un peu trop stéréotypées.
J'ai préféré "les cerfs-volants de Kaboul"…
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