Une histoire douce et légère. Les soixante-quatre cases de l'échiquier deviennent pour Eleni une manière de fuir une quotidienneté pesante. Plongée dans la concentration du jeu, la protagoniste trouve la force et la détermination pour dépasser les limites, qui seul ceux qui vivent sur une petite île peuvent peut être comprendre. Les limites personnelles et les limites imposées par la structure sociale. Les personnages - même mineurs - sont esquissés de façon à laisser de l’espace à la fantaisie du lecteur. Peu de traits resteront gravés dans l’esprit du lecteur et qui rendraient les protagonistes intéressants, bien définis. Bref, « Les échecs » deviennent, me semble-t-il, qu’un prétexte pour raconter une petite histoire de libération. Une lecture rapide, avec une fin surprenante qui contenterait le lecteur plus optimiste.
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