Lu en deux jours, ai beaucoup aimé le style narratif du journal. Cependant, on sait que tous les personnages ont bel et bien existé, cela me dérange qu’on leur prête des paroles. On ne peut savoir en effet ce qu’ils pensaient vraiment.
Une œuvre de fiction pure m’aurait moins gênée. Jeanne est une (très) jeune femme : France Huser lui donne un caractère très mature, était ce bien le sien ? Modigliani passe pour un artiste tourmenté, beau ténébreux (très beau il était en effet – voir photo sur internet !) et ravagé par une souffrance, et une réelle maladie qu’il noie ds l’alcool et autres drogues. Jeanne lui est totalement soumise, c’est peut être ça aussi qui ne m’a pas plu. Il n’y a aucun espoir ds ce récit : c’est beau ,triste et tragique.
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