Je ne me rappelle pas quand j'ai lu ce livre, il me semble que cela remonte à très loin, à l'époque où j'étais étudiant. Mais c'est peut-être quelques années plus tard. Je me souviens avoir vu une adaptation théâtrale de ce livre à la Cartoucherie de Vincennes et il me semble que cela s'appelait "Les nuits blanches". Le metteur en scène avait mis au centre de la scène une petite voiture italienne style Fiat 500. Et tout se passait dans, sur, autour de cette voiture. C'était très réussi. Mais la réussite principale en incombe sûrement à l'auteur du livre, Ferdinando Camon, qui a réussi là un chef d'oeuvre de drôlerie et d'auto-dérision qui montre aussi ce que c'est que cette "maladie humaine" dont on finit généralement par mourir. Il est bon de rire de cela, parfois.
J'avoue que j'aimerais un jour écrire quelque chose comme cette "Maladie humaine" mais en même temps je sais que je ne le ferai pas. C'est un des symptômes de cette maladie, entre autres.
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