J'ai préféré ce volet au pourtant plus célèbre
A l'ami qui ne m'a pas sauvé la vie.
Hervé Guibert raconte ses derniers mois, entre l'espoir et la résignation, au fil des thérapies et des envies de créer, l'apathie et le laisser-vivre. Soudain plus que jamais la vie et les gens deviennent dignes d'amour. L'esthète sait dire avec pudeur et impudeur, combien il est difficile de vivre avec un corps dont on ne peut plus contrôleur l'apparence ni la chute.
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