Si Michael Moorcock est un maître du roman d'aventures, c'est parce qu'il a, bien sûr, toute l'imagination nécessaire, et même un peu plus : pour le souffle épique et l'ampleur visionnaire, on ne fait pas mieux. Il n'est à l'aise que dans des univers décadent et baroque, prophète d'un du monde goguenarde et bariolée.