Celles qui parlent sur nos divans sont d'abord des " filles ", elles nous parlent de leurs mères et des femmes qu'elles n'ont pas toujours su être, puisque leurs mères ne l'ont pas toujours été non plus. Pourtant leurs histoires de petites filles devraient commencer avec une femme, une amante.
Ces histoires, ces statuts, s'intriquent dans une relation très précoce entre elles deux pour que puisse surgir la " féminité " qui se concrétise dans l'envie d'enfanter, de créer, fut-ce seulement dans le fantasme.