Dans son premier livre, Georges Hyvernaud décrivait la condition du prisonnier de guerre. Le Wagon à vache peut se définir comme le journal d'un prisonnier de l'après-guerre - un homme quelconque - enfermé dans son petit métier, dans des fréquentations médiocres et des souvenirs banals, captifs de sa ville. Incompréhensible.
Bourladou - l'homme des conforts et des conformismes.
(Prière d'insérer rédigé par l'auteur en 1953.)