Contre la porte du cimetière de Barles, près de Digne, il y a une boîte aux lettres qu'on ne remarque jamais. Pourtant, dans les années soixante, l'assassin à la belle écriture l'a parfois utilisée. C'était l'époque où Pencenat Emile creusait sa tombe, dimanche après dimanche. Il a été le premier à voir l'une de ces étranges missives, annonciatrices d'une vengeance à retardement.