En 1937, Odette du Puigaudeau et son amie Marion Sénones s'aventurent dans l'une des zones les moins explorées du Sahara central, sur la piste des dernières caravanes de sel. Chaque année l'Azalaï, qui regroupait plus d'un millier de chameaux, quittait la région de Tombouctou pour gagner, droit, au nord, la dépression de Taoudeni, célèbre depuis
l'Antiquité pour ses salines : soit 2 000 km de trajet
aller et retour, dans la partie la plus déserte du grand désert. Un livre qui en son temps avait fasciné le jeune Théodore Monod. Et l'un des classiques absolus de la littérature du désert.