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Les notes de lectures recherchées

7 livres correspondent à cette oeuvre.

Il y a actuellement 7 notes de lecture correspondant à cette oeuvre (voir ci-dessous).

Notation moyenne de ce livre : (7 livres correspondant à cette oeuvre ont été notés)

Mots-clés associés à cette oeuvre :

Auteur    Message
Franz



Sexe: Sexe: Masculin
Inscrit le: 01 Déc 2006
Messages: 1967
Localisation: Nîmes

Posté: Ven 01 Fév 2019 11:36
MessageSujet du message:
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Les hurlements de l’enfer.
La belle Hindou Shakti a rejoint l’équipée des rangers qui se dirige vers le repaire de Yama. Le diabolique sorcier espionne à distance à travers l’amulette portée par Shakti et dispose ses pièges sur la piste : tempête et sables mouvants, fétiches vaudous, poulpe des abysses, etc. Les coups portés sont rudes et saignent les policiers qui ne peuvent riposter sans jamais atteindre Yama dissimulé derrière son corps astral. A la fin, le démon révèlera son vrai visage, forcément hideux et ses intentions maléfiques.
Habilement, le scénariste Mauro Boselli conduit son récit jusqu’à un dénouement ouvert. Yama est un méchant récurrent qui se redimensionne dans l’aventure, prenant une envergure méphitique malfaisante. Les rangers, chevaliers du bien, mordent la poussière plus souvent qu’à leur tour mais s’arc-boutent afin de tenter de circonvenir le mal en puissance. Le dessinateur Fabio Civitelli tient aisément la distance et fournit un travail de grande qualité sur les 342 pages que compte l’aventure répartie sur les n° 673, 674 et 675.
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[Tex. 674, I quattro cavalieri | Gianluigi Bonelli ; Aur...]
Auteur    Message
Franz



Sexe: Sexe: Masculin
Inscrit le: 01 Déc 2006
Messages: 1967
Localisation: Nîmes

Posté: Ven 01 Fév 2019 11:34
MessageSujet du message: [Tex. 674, I quattro cavalieri | Gianluigi Bonelli ; Aur...]
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Les quatre cavaliers.
Tex Willer a maintenant identifié son adversaire en la personne maudite de Yama, fils de Méphisto, lui-même âme noire hantant les enfers. Désireux de venger son père occis par Tex et ses pards, Yama va matérialiser des pièges infernaux sur la piste des rangers jusqu’à son refuge de Naraka, temple dédié aux forces occultes au fin fond du désert. Dans son antre méphitique, Yama s’est entouré de quatre hommes en noir, dévots et zélés, Kalam, Rinchen, Lefeuvre et Haydn. Afin de parfaire ses pouvoirs, Yama descend aux enfers mais en échange de forces maléfiques considérables, il devra satisfaire les appétits des démons et réussir dans son entreprise du mal. Toutefois, son arme la plus trouble et la plus retorse pourrait être la belle Hindou Shakti, sœur de Kalam, dépêchée auprès des rangers.
Mauro Boselli continue de développer son histoire en donnant l’avantage à Yama usant de tous les stratagèmes pour occire les rangers à qui il voue une haine tangible. Tous les pièges et toutes les ruses sont ourdis afin de faire chuter le bien en la personne des policiers texans. Fabio Civitelli reste remarquable dans sa maîtrise graphique et sa capacité à produire une œuvre abondante. Cette aventure courant sur trois numéros produit un constant plaisir de lecture.
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[Tex. 673, Il segni di Yama | Gianluigi Bonelli ; Aureli...]
Auteur    Message
Franz



Sexe: Sexe: Masculin
Inscrit le: 01 Déc 2006
Messages: 1967
Localisation: Nîmes

Posté: Ven 01 Fév 2019 11:32
MessageSujet du message: [Tex. 673, Il segni di Yama | Gianluigi Bonelli ; Aureli...]
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Le signe de Yama.
Le bourg de Dunlap, posé dans la plaine du Nebraska, va être durement secoué par une tornade qui semble être dirigée par des forces maléfiques. L’illusionniste Blacky Dickart et sa mère Myriam, voyante, logent dans une roulotte qui risque d’être pulvérisée par le vortex. La nuit, en proie à de redoutables cauchemars, Blacky est tourmenté par Méphisto, ennemi juré de Tex Willer qui lui rappelle sa filiation. Blacky est Yama, fils de Méphisto et la furie des vents lui permet de faire table rase et de ramener sa personnalité enfouie à la surface, au premier plan. Conscient de sa puissance retrouvée, Yama va reprendre le flambeau de son père et manigancer un plan machiavélique pour se venger des rangers responsables de la disparition de Méphisto.
Le scénariste patenté de la série Tex Willer Mauro Boselli réanime un ennemi récurrent du ranger texan et compose une longue histoire de 342 pages courant sur trois numéros. Yama, fils de Méphisto est montré dans toute son étrangeté, puissant, déterminé mais en proie à des démons intérieurs. Boselli ourdit son récit en l’ourlant de surnaturel. Tex comprend rapidement à qui il a à faire grâce notamment au savoir d’El Morisco, ami versé dans les arts occultes. Le dessinateur Fabio Civitelli fournit une prestation remarquable grâce à la précision et à l’élégance d’un graphisme immédiatement identifiable. Son travail sur les matières est superbe et le rendu des scènes nocturnes époustouflant.
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[Tex. 679, Gli incappucciati del Klan | Gianluigi Bonell...]
Auteur    Message
Franz



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Inscrit le: 01 Déc 2006
Messages: 1967
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Posté: Mar 28 Nov 2017 15:53
MessageSujet du message: [Tex. 679, Gli incappucciati del Klan | Gianluigi Bonell...]
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Les encagoulés du Klan.
Le trio d’amis, Jethro, Corbett et Willer débarquent à Willingford, dans le Mississippi, afin de demander des comptes à Landon Stevens pour le meurtre de la femme et du frère de Jethro durant la Guerre de Sécession. L’ex-sudiste Stevens semblerait vouloir éteindre les conflits en promettant à Jethro de recouvrer ses terres. Son invitation à dîner ressemble à un grossier traquenard dans lequel Tex Willer et Glenn Corbett vont s’engouffrer. Alertés, les membres encagoulés du Klan arrivent sur la propriété en nombre et en vainqueur.
Suite sans temps mort du n° 678, le second épisode attise le feu jusqu’à la pétarade finale qui explose sur une trentaine de pages. Sur fond de racisme exacerbé, le récit tisse les fils d’une amitié forte et durable où la valeur des hommes prime sur toute autre considération. Fidèle aux atmosphères de ses multiples scénarios, Mauro Boselli teinte l’odyssée du ranger texan d’une teinte mélancolique que le vent porte et remue. Corrado Mastantuono, peu connu en France (quelques Tex édités par Clair de lune, Elias le maudit aux Humanoïdes associés), éblouit avec son graphisme précis, dynamique et expressif. Alors que ce dessinateur génial travaille deux à trois jours sur chaque planche en noir & blanc de 30 cm x 40 cm, il est tout de même arrivé à produire une histoire en 300 pages (entre 2003 et 2007) d’une grande beauté formelle dans laquelle les plans et les cadrages se multiplient. Une partie de la réussite de son œuvre réside dans la maîtrise de l’encrage et dans l’abondance des détails jamais sacrifiés aux diktats de la rentabilité.
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[Tex. 678, Jethro | Gianluigi Bonelli ; Aurelio Galleppini]
Auteur    Message
Franz



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Posté: Mar 28 Nov 2017 15:48
MessageSujet du message: [Tex. 678, Jethro | Gianluigi Bonelli ; Aurelio Galleppini]
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Jethro
Rancher noir aux portes du désert de l’Utah, Jethro attend la venue de tueurs à la nuit tombée. Il a renvoyé son contremaître et son fils afin d’affronter les brutes surgies de son passé. Il a préparé une fosse piégée face à son ranch mais à son grand désarroi, il s’agit d’une cavalcade menée par son fils, de retour brusque et inattendu, venu prêter main forte mais il fonce à bride abattue sur le trou hérissé de pieux, bien dissimulé sous une bâche.
Finalement, Jethro en vient à raconter à son fils l’odyssée de sa jeunesse quand il a été libéré de sa détention par Tex Willer à la fin de la guerre de Sécession peu de temps avant la mise en liberté de Glenn Corbett. Le trio d’amis se dirige vers Willingford, ville du Mississippi toujours gangrenée par le racisme et le Ku Klux Klan car Willer et Corbett savent que leur compagnon risque sa vie à revenir dans le four brûlant de la haine. Jethro, homme noir libre n’est pas le bienvenu et sa présence laisse crainde des représailles.
Mauro Boselli enchâsse ses récits avec brio, mêlant le présent et une menace insidieuse avec un passé tumultueux éclairant fatalement l’action à venir. Corrado Mastantuono est un artiste extraordinaire qui réalise une œuvre fascinante. Son trait précis et incisif taillade les cases à vif, exacerbe les expressions. La dynamique des cadrages et les somptueuses scènes nocturnes captivent littéralement. L’aventure se clôt dans le numéro 679 de mai 2017.
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[Tex. 677, Duello a Madison Creek | Gianluigi Bonelli ; ...]
Auteur    Message
Franz



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Posté: Lun 13 Nov 2017 17:52
MessageSujet du message: [Tex. 677, Duello a Madison Creek | Gianluigi Bonelli ; ...]
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Règlement de comptes à Madison Creek.
Jordan, propriétaire du trading post, a été torturé à mort par les bandits aux ordres de Mister Hall. Les malfrats connaissent maintenant le lieu où se trouve Kenneth Bowen et s’y rendent afin de faire tabula rasa en liquidant l’homme en noir et Timothy, le jeune fils de Fred Mitchell, seul rescapé de la tuerie du ranch. Pendant ce temps, Ken Bowen s’est rendu à Madison Creek dans son ancienne ferme confisquée par les pistoléros de Hall et discute avec le nouveau propriétaire du ranch. Timothy est seul, désarmé et les malfrats arrivent alors que les rangers talonnent Bowen.
Superbe récit initié dans le n° 676, trouvant sa conclusion dans le n° 677, qui déroule la tragédie des deux fugitifs puis l’attachement réciproque entre le jeune Timothy Mitchell et le meurtrier de son père, Kenneth Bowen. Gianluca Acciarino délivre une œuvre graphique sans défaut avec un luxe de détails au service de la lisibilité, de l’expressivité et de la beauté de l’ensemble. Le découpage et les cadrages soutiennent le rythme trépidant des poursuites et des règlements de comptes. Beaucoup de choses se lisent dans les regards, augmentant la charge émotionnelle des échanges, entre condamnation et rédemption. Les éditions Bonelli s’agrémentent d’un nouvel opus qui fait vibrer et résonner la saga du ranger texan au-delà des canons convenus.
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[Tex. 676, Il ragazzo rapito | Gianluigi Bonelli ; Aurel...]
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Franz



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Posté: Lun 13 Nov 2017 17:18
MessageSujet du message: [Tex. 676, Il ragazzo rapito | Gianluigi Bonelli ; Aurel...]
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L’enfant volé.
Au sud du Colorado, le ranch de Fred Mitchell est attaqué par un groupe de cinq hommes à la solde d’un riche propriétaire terrien ayant des vues rapaces sur les terres avoisinantes. Parmi les sbires se trouve le peu loquace Ken Bowen, tireur d’élite vêtu de noir. Malgré la riposte désespérée des cow-boys, tous les occupants du ranch sont massacrés mais l’apparition du jeune fils de Fred Mitchell, sous le choc, renverse la donne. Contre toute attente, Bowen rectifie ses comparses afin de sauver le garçon, dernier héritier du ranch voué à une mort certaine. Mister Hall, le commanditaire des meurtres forme une nouvelle équipe lancée à la poursuite de Bowen et de Tim, l’enfant volé. Sillonnant les environs, Tex Willer et Kit Carson arrivent sur les lieux de la tuerie attirés par la pétarade, juste après coup. Le shérif local et ses adjoints débarquent aussi au ranch sinistré. Il accepte mal que les rangers décident de s’investir dans la traque du tueur et voleur d’enfant. Ken Bowen ne s’attire pas uniquement les foudres de tous, il paraît aussi poursuivi par une histoire personnelle tragique qui semble orienter tous ses actes.
Tito Faraci sait construire des histoires simples et solides et les raconter en agençant habilement les scènes. Retrouver Gianluca Acciarino aux pinceaux est un grand plaisir déjà ressenti lors d’une précédente contribution aux Tex mensuel n° 633 et 634. Superbe mise en page multipliant les angles de vue pour un dynamisme et une lisibilité accrus, trait souple, précis, vivant, décors fouillés, visages travaillés et expressifs, tout concourt à rendre l’œuvre du dessinateur transalpin superbe. Son graphisme semble s’être légèrement épaissi, charbonnant les ambiances, densifiant les présences, s’ailant par instant quand le trait délié s’oublie et s’exprime pleinement : une grande œuvre qui se poursuit et se clôt dans le n° 677 de mars 2017.
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