7 livres correspondent à cette oeuvre.
Il y a actuellement 2 notes de lecture correspondant à cette oeuvre (voir ci-dessous).
Mots-clés associés à cette oeuvre : accident, amerique, amerique du nord, amitie, bucherons, canada, cuisine, cuisinier, drame, ecriture, ecrivain, etats-unis, famille, nature, toronto, vengeance, xxieme siecle
|
[Dernière nuit à Twisted River | Irving John] |
|
|
Auteur |
|
Message |
onaris
Inscrit le: 28 Fév 2009 Messages: 1451 Localisation: Occitanie
|
|
Posté: Sam 06 Juin 2015 6:16
Sujet du message: [Dernière nuit à Twisted River | Irving John]
|
Commentaires : 0 >> |
|
Daniel Baciagalupo, devenu écrivain il sera aussi connu sous son nom de plume Danny Angel, est un garçon de douze ans quand il est témoin de la noyade d'un jeune bûcheron lors du roulage de troncs d'arbres sur la Twisted River. Mais c'est un autre dramatique accident qui l'obligera à fuir en compagnie de son père Dominic, dit le Cuistot.
Toute leur vie ils devront changer de noms de déménager pour échapper à la vengeance d'un shérif alcoolique.
Le livre raconte la vie de trois gommes solitaires : celle de la solide affection entre le père et le fils ainsi que celle de leur amitié durable pour Ketchum, un solide bûcheron qui assurera leur protection, lui aussi marqué par un drame, celui qui coûta la vie à la mère de Daniel.
|
|
|
|
[Dernière nuit à Twisted River | John Irving] |
|
|
Auteur |
|
Message |
Septentria
Sexe: Inscrit le: 17 Avr 2006 Messages: 910 Localisation: Ste Foy-Les-Lyon (69)
|
|
Posté: Jeu 04 Aoû 2011 11:43
Sujet du message: [Dernière nuit à Twisted River | John Irving]
|
Commentaires : 0 >> |
|
Dans les années 50, Danny, fils du cuisinier d'un camp de bûcherons, tue par méprise la maîtresse de son père, laquelle était aussi la compagne du shérif local. Père et fils s'embarquent alors pour une odyssée à travers les Etats-Unis et le Canada pour échapper à la menace de mort formulée par le violent personnage qui cherche à se venger d'eux...
Une pure odyssée à la John Irving, si je puis me permettre, dans la droite ligne de la plupart de ses romans précédents. Je craignais justement de trouver le principe un peu récurrent mais comme toujours, j'ai été embarquée dans l'histoire, aux personnages souvent improbables (la palme à Ketchum, le bûcheron géant ami des fuyards) et aux rebondissements parfois drôles, parfois tragiques qui émaillent le récit et lui donnent des couleurs changeantes. Alors évidemment, je dois dire que je suis un peu agacée de retrouver encore les mêmes thèmes (les ours, la lutte, l'écriture, les relations familiales, notamment père/fils...), un peu comme un Nième exercice de style mais je l'avoue, je marche à tous les coups, je ris, je pleure et je dévore ces pavés avec appétit, comme si c'était le 1er Irving que je lisais. Dans ce dernier opus, la cuisine (un nouveau thème ? Chic alors !) prend une place importante qui m'a fait saliver. J'ai trouvé la fin un peu (beaucoup) tirée par les cheveux mais pour conclure, malgré tous ces petits défauts (dont je me rends compte en me relisant qu'il y en a quand même pas mal!), j'ai adoré. Allez comprendre !
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|