7 livres correspondent à cette oeuvre.
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[Tex. 620, Nel rifugio di Espectro | Gianluigi Bonelli ;...] |
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Franz
Sexe: Inscrit le: 01 Déc 2006 Messages: 1996 Localisation: Nîmes
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Posté: Mar 12 Juin 2018 10:40
Sujet du message: [Tex. 620, Nel rifugio di Espectro | Gianluigi Bonelli ;...]
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Dans la tanière du Spectre.
Tex Willer et son groupe sont déterminés à pénétrer dans l’antre du Spectre, sinistre assassin défiguré par la variole mais le village indien qu’il occupe est un pueblo perché inexpugnable. Entretemps, dans l’hacienda du colonel Ramos, l’affairiste esclavagiste, un plan s’ourdit pour éliminer le lieutenant Castillo et sa garnison de rurales. Les combats vont se succéder jusqu’à la charge héroïque finale.
Superbe aventure qu’illustre à merveille le dessinateur argentin alors âgé de 71 ans. Son trait est net et vigoureux. Son graphisme est élégant, fluide, solaire. La lecture demeure un régal constant. La dernière contribution d’Ernesto Garcia Seijas pour Bonelli Editore date de 2014. Sa production antérieure est conséquente mais son œuvre devient progressivement invisible, disséminée dans les petits formats noir & blanc des années 1970-1980. Seul surnage son travail pour le grand éditeur italien de fumetti à travers Tex Willer, personnage mythique à la longévité proverbiale.
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[Tex. 622, La rivincita di Makua | Gianluigi Bonelli ; A...] |
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Message |
Franz
Sexe: Inscrit le: 01 Déc 2006 Messages: 1996 Localisation: Nîmes
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Posté: Ven 15 Mai 2015 21:15
Sujet du message: [Tex. 622, La rivincita di Makua | Gianluigi Bonelli ; A...]
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La revanche de Makua
Deux années se sont écoulées depuis la traque du rebelle Mescaleros Domingo et l’ascension du jeune pistoléro Makua pris sous l’aile délétère du trafiquant Edward Sanchez. Le jeune Makua revient en maître au village de son enfance dans lequel il a été maltraité du fait de son métissage. Il a décidé d’en découdre avec ceux qui l’ont humilié. Hormis sa soif de vengeance qu’il masque derrière un visage angélique et un sourire serein, Makua travaille pour Sanchez en écoulant des armes et de l’alcool auprès des Apaches. Plus au sud de l’Arizona, la ville minière de Coldflag est assiégée par des Apaches armés et assoiffés. Les rangers ont prêté main-forte et font prisonnier un Mescalero qui finit par donner la source d’approvisionnement. Tex comprend alors que Sanchez est vivant et qu’il devra l’affronter ainsi que Makua, deux prodigieux tireurs.
Deuxième volet du récit entamé avec « Mezzosangue », le récit ne faiblit jamais en intensité. Tex Willer est dur, intraitable, implacable. Les malfrats vont en faire la mortelle expérience. Makua n’apparaît pas comme un desperado absolu mais le camp qu’il a choisi lui vaudra des déboires. Le trait vif d’Alfonso Font colle parfaitement à l’action omniprésente. Travaillant moins les carnations, entrant peu dans les détails, son graphisme effleure et griffe les surfaces sans en sonder les profondeurs. C’est à la fois la force et la limite de l’artiste catalan.
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[Tex. 624, Partita truccata | Gianluigi Bonelli ; Aureli...] |
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Auteur |
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Message |
Franz
Sexe: Inscrit le: 01 Déc 2006 Messages: 1996 Localisation: Nîmes
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Posté: Ven 15 Mai 2015 13:47
Sujet du message: [Tex. 624, Partita truccata | Gianluigi Bonelli ; Aureli...]
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Partie truquée
Le riche rancher Neville semble disposer d’autant de cow-boys pistoléros à ses ordres qu’ils se trouvent éliminés par Tex Willer et le sergent Burke à mesure que les traquenards échouent mais le ranger, affaibli par ses blessures, n’est pas apte à combattre et à anticiper les manœuvres d’un adversaire sans scrupule d’autant que les redoutables frères Dekker, Gus et Ozzy, ont été recrutés pour faire le ménage. Neville est secondé par le shérif de Springwood, Parker, qui a tendance à jouer cavalier seul et à n’écouter que lui-même. Parker est « l’osso duro » à ronger.
Débutée dans le Tex 623, « Braccato ! », « Partita truccata » termine une aventure fracassante et explosive où l’action prime de bout en bout. Le dessin, les cadrages, le découpage de Pasquale del Vecchio sont superbes. Précis, élégant, sans surcharge, son graphisme est remarquable et apporte une grande lisibilité et un indéniable attrait à une histoire pourtant très convenue. Si tout a déjà été dit, il reste encore mille façons différentes de le dire et les deux auteurs savent de quoi ils parlent.
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[Tex. 623, Braccato ! | Gianluigi Bonelli ; Aurelio Gall...] |
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Auteur |
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Message |
Franz
Sexe: Inscrit le: 01 Déc 2006 Messages: 1996 Localisation: Nîmes
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Posté: Dim 03 Mai 2015 13:52
Sujet du message: [Tex. 623, Braccato ! | Gianluigi Bonelli ; Aurelio Gall...]
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Traqué !
Un pont en bois rompu par les intempéries de l’hiver contraint Tex Willer à se détourner de sa route. Il arrive juste après le massacre de fermiers par des tueurs à la solde de Neville, rancher souhaitant acheter à vil prix les terres avoisinant son domaine. Le ranger intervient mais les bandits ripostent posément. La fusillade nourrie fait de nombreux morts et Tex Willer doit battre en retraite avec du plomb dans le flanc. Il ne doit son salut qu’à un plongeon désespéré dans la rivière tumultueuse. Epuisé, sur la rive, il est recueilli par Rufus, un jeune homme costaud, dévoué et sans une once de méchanceté. Le jeune homme en salopette amène Tex inconscient jusqu’à la ferme du sergent Burke. L’ancien militaire a conscience de la gravité des blessures. Il envoie Rufus à Springwood afin d’avertir le shérif Parker et le médecin. Hélas, l’homme de loi n’est autre que le chef des assassins. Rufus part se jeter dans la gueule du loup avec l’intention de remplir au mieux la mission qui lui a été confiée par Burke. Sans le vouloir, il entraîne son ami et mentor, lui-même ainsi que le ranger blessé vers une mort certaine.
La fusillade ouvrant le bal des maudits est un morceau de bravoure qui court sur cinquante pages. Sous la pluie, dans les bois, la mortelle rencontre est étonnante par la force et la violence qui en émanent. Le numéro se clôt sur une nouvelle embuscade de vingt-deux pages. L’action prime et le ranger est mis à mal mais son cran, sa détermination, sa précision et son intelligence mettent à rude épreuve les malfrats se jugeant au-dessus des lois. Outre l’histoire trépidante et sans concession imaginée par Tito Faraci, la surprise provient de l’excellence du graphisme du dessinateur italien Pasquale del Vecchio. La mise en page et les cadrages sont cinématographiques. L’action est visible et lisible. Les visages en gros plan grimacent de douleur. Les décors sont soignés. Dès 1991, l’auteur a intégré le cénacle des éditions Bonelli en dessinant Nick Raider et depuis 2005, il s’attelle avec brio aux histoires du ranger texan. Une fois n’est pas coutume, la couverture couleur réalisée par Claudio Villa est superbe.
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[Tex. 621, Mezzosangue ! | Gianluigi Bonelli ; Aurelio G...] |
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Auteur |
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Message |
Franz
Sexe: Inscrit le: 01 Déc 2006 Messages: 1996 Localisation: Nîmes
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Posté: Dim 26 Avr 2015 20:53
Sujet du message: [Tex. 621, Mezzosangue ! | Gianluigi Bonelli ; Aurelio G...]
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Sang mêlé !
Dans le désert de l’Arizona, aux limites des territoires navajos, Edward Sanchez et sa bande de comancheros cherchent à fourguer des fusils à un groupe de Mescaleros mais le marchandage est à couteaux tirés et les Indiens sont abattus. Sanchez est un pistoléro redoutable. Sur les traces des trafiquants d’armes, Tex et Carson découvrent le massacre et proposent aux bandits de se rendre. La fusillade éclate et Sanchez dynamite le convoi d’armes. Les rangers le croient mort et la bande volatilisée mais Sanchez est sorti des décombres par deux jeunes Indiens dont le métis Makua. Le pistoléro se remet de ses blessures sous la tente des deux adolescents et apprend à Makua à se servir d’une arme. Surpris par la vélocité et la précision du Mescalero, Sanchez lui offre son colt et quelques conseils. Entretemps, les rangers pistent la bande de pillards Chiricahuas menée par le redoutable Domingo.
Entrecoupant deux histoires parallèles, celle de la traque des Apaches de Domingo par les rangers et l’apprentissage des armes de Makua par Sanchez, le scénariste multiplie les chassés croisés et les rencontres. Tex est impérial mes ses ennemis sont retors et déterminés. Malgré les apparences, Aigle de la nuit est pris à défaut à plusieurs reprises, croyant Sanchez mort et n’imaginant pas le ressentiment du jeune Makua, son besoin de reconnaissance après son exclusion de la tribu du fait de son métissage. Alfonso Font est un dessinateur catalan au trait vif, privilégiant le mouvement, l’expressivité au détriment de la précision et de l’élégance du trait. La savante distribution d’aplats noirs est remarquable.
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[Tex. 627, Una donna in ostaggio | Gianluigi Bonelli ; A...] |
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Auteur |
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Message |
Franz
Sexe: Inscrit le: 01 Déc 2006 Messages: 1996 Localisation: Nîmes
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Posté: Mer 15 Oct 2014 20:12
Sujet du message: [Tex. 627, Una donna in ostaggio | Gianluigi Bonelli ; A...]
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Les rangers remontent la piste de Jack Curtiss mais n’atteignent que ses sbires. Trois larrons de la bande sont pris à parti par Tex Willer et Kit Carson. Obtenant les renseignements recherchés, les rangers les libèrent mais mal leur en prend de tomber entre les mains du shérif Drayson et de ses acolytes. Les bandits sont pendus haut et court sans autre forme de procès. Kit Willer décide de prendre le train en vol, là où Curtiss mijote ses mauvais coups. Il retrouve Sarah mais les mauvaises surprises et les sales coups vont pleuvoir sur le fils de Tex. Jack Curtiss est un véritable crotale. Il trouve toujours une issue par où se faufiler.
Kit et Sarah nouent des sentiments inavoués que l’histoire contrarie sans cesse. Même au cœur de la tourmente, Kit Willer ne se résout jamais à baisser les bras. L’histoire classique concoctée par Mauro Boselli est magnifiée par le dessin époustouflant de Stefano Andreucci qui semble s’améliorer encore en fin de course. Les mouvements des personnages, la vivacité des expressions, le rendu des paysages et des atmosphères, les superbes cadrages concourent à hisser l’aventure de Tex Willer au pinacle.
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[Tex. 627, Salt River | Gianluigi Bonelli ; Aurelio Gall...] |
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Auteur |
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Message |
Franz
Sexe: Inscrit le: 01 Déc 2006 Messages: 1996 Localisation: Nîmes
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Posté: Sam 04 Oct 2014 11:05
Sujet du message: [Tex. 627, Salt River | Gianluigi Bonelli ; Aurelio Gall...]
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Dans le canyon de Salt River, en Arizona, la journée pourrait demeurer prise dans l’apparente immobilité du désert pour Buzz, le passeur de la rivière mais une horde écumante de desperados surgit, les diables de Tex Willer et Kit Carson aux trousses. Balles, avalanche et cataractes anéantissent la bande de malfrats mais Jack Curtiss réussit à s’enfuir, envoyant les deux rangers boire la tasse. Convoyant un troupeau de vaches, Kit Willer découvre un jeune Apache blessé par un puma qu’il a réussi à tuer avec son couteau. Kit amène en civière à la réserve indienne de Tonto Creek le courageux Lobito avec la dépouille du félin comme preuve de sa bravoure. Le fils de Tex découvre la jeune, jolie et dévouée doctoresse blanche Sarah Wyatt en mission dans la réserve apache. Kit décide de la raccompagner à Green City. Bien lui en prend car trois malfrats ont décidé de s’amuser aux dépens de Sarah.
Premier volet d’une histoire où deux récits s’enchâssent, le dessin de Stefano Andreucci fait merveille à chaque case. En Italie, la pépinière de dessinateurs de grand talent à la carrière déjà richement étoffée provoque l’étonnement et l’admiration. Alors que les pays francophones peuvent se targuer à juste titre de posséder une pléiade d’excellents dessinateurs de bédé, il est loisible de mesurer à travers les aventures inépuisables de Tex Willer et la production éditoriale de Sergio Bonelli, la manne extraordinaire représentée par des artistes transalpins quasi méconnus dans l’hexagone.
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