Voilà Corwin à nouveau libre et toujours plus fort, décidé à se venger du roi d'Ambre, son frère Eric qui lui semble être un usurpateur : la malédiction qu'il lui a lancée détruit le royaume et il ne lui reste plus qu'à fabriquer une arme inédite et efficace. Il retournera en Avalon.
Le personnage semble gagner en ambiguité ; même s'il ne s'est jamais présenté comme un enfant de choeur, il semble dans ce tome qu'il ne faille pas se ranger si vite du côté de lui s'il importe d'être "du côté des gentils" au lecteur ! Corwin flirte avec son côté sombre, dans tous les sens du terme et d'autres aspects vulnérables de sa personnalité apparaissent, comme la capacité de tomber amoureux ou d'être la proie de ses sens.
L'auteur le lance dans une nouvelle aventure et interrompt brutalement le roman, du coup, je ne me demande plus si je lirai le troisième tome : il le faut.