La guerre fait rage au cœur de Westeros, des citadelles changent de mains, d’autres partent en fumée et de nombreuses maisons nobles perdent leurs derniers héritiers. Pendant ce temps derrière le mur de glace, les ennemis s’organisent et bien loin à l’est Daenerys prépare son retour. Bref, le chaos règne dans un royaume plus divisé que jamais et c’est grâce au destin de ses quelques personnages que l’auteur nous raconte l’histoire de ce monde riche et violent. Même si les évènements majeurs ne sont pas aussi nombreux qu’au début de l’aventure, suivre les Lannister, les Stark et les autres maisons dans cette saga furieuse et sanglante est une passionnante aventure.

Je suis maintenant familiarisé avec l’univers du Trône de fer et j’aime toujours autant m’y replonger. Jon et ses frères noirs, Sansa l’otage des Lannister, Arya la fugitive, la courageuse Catelyn et Tyrion le lutin sont tous des personnages passionnants dont on suit les aventures avec intérêt. D’autant plus que l’action se déroule dans un monde d’une richesse impressionnante. Les sept couronnes sont remplies de chevaliers valeureux et vindicatifs, de puissants ambitieux qui n’hésitent pas à utiliser les moyens les plus vils pour obtenir le pouvoir et d’un soupçon de magie sombre et inquiétante. Je ne me lasse pas.

C’est avec impatience que j’ai commencé ce troisième tome car c’est toujours un plaisir de replonger dans cette grande saga. Le royaume des sept couronnes est maintenant divisé. Les différents prétendants au trône se préparent à la guerre et cherchent de nouvelles alliances. Bref, la tension monte sur l’île de Westeros. Rivalité, vengeance et ambition sont les moteurs principaux des héros de Martin et comme toujours, chaque chapitre se concentre sur un seul personnage. L’occasion d’avoir à chaque fois un point de vue différent et toutes les pièces de ce même puzzle forment en définitive un tout très bien construit et diablement addictif. J’adore !

Toujours un régal de lire cette chronique des Sept Couronnes.
L'histoire s'éloigne un peu de celle de la série télé, identique dans les grandes lignes, mais plus étoffée dans les romans.
Ce 5ème tome correspond à la fin de l'Intégrale 2 (A Clash of Kings).

Tome 3, correspondant au 1er tiers du 2ème tome de l’œuvre originale.
Sans être ennuyeuse, cette partie est introductive et il ne se passe pas grand chose, relativement aux précédents épisodes. Beaucoup de mise en place, et une meilleure compréhension de la psychologie de certains personnages.

Encore un volume très marqué par les conflits, les guerres et franchement, il faut suivre car avec les rois qui se multiplient, c'est pas gai gai, la vie sur le territoire des Sept Couronnes !
J'ai hâte de savoir ce qu'il advient de Daenerys, d'Arya et de Sansa... C'est curieux mais je me suis plus attachée aux personnages féminins qu'aux gars !
Je laisse passer un peu de temps, histoire de lire un peu autre chose, mais une chose est sûre, le "Trône de Fer" va continuer de m'accompagner cet été !

J'ai moins aimé ce volume de la saga du "Trône de Fer" que les précédents, sans doute parce que les scènes guerrières m'intéressent moins que la psychologie des personnages... Je l'ai néanmoins dévoré, ne serait-ce que pour passer à la suite !

Un chapitre où il se passe des choses sur tous les fronts : au Nord derrière le mur, à Winterfell, à Port Réal, à Harenhall...bref, on n'a pas le temps de s'ennuyer.
A la fin, les cartes sont redistribuées mais on n'est toujours sûr de rien sur le dénouement final (et encore moins si l'auteur a prévu un tel dénouement!).
Toujours autant accroché.

4 ème volet de la saga "le Trône de fer", qui nous plonge au coeur d'une intrique très riche en rebondissements. Petit point négatif, l'univers de George Martin est tellement riche qu'il est difficile de ne pas mélanger par moment, les nombreux personnages de son récit. Très bon livre.

La saga se poursuit, les positions se durcissent et les prétendants à la succession du roi Robert sur le trône de fer aiguisent leurs épées. Au nord du mur, une escouade d'hommes en noir s'enfonce dans les terres glacées pour prévenir des périls que le reste de l'humanité a décidé d'ignorer (il faut dire que la guerre est cruelle pour les civils aussi : massacrés par les troupes ou affamés dans les villes où ils se réfugient, leur sort n'est guère enviable). Pendant ce temps, au loin dans une Ile qui ne figure hélas pas sur la carte illustrant le livre de Martin, les dragons renaissent et la magie avec eux. Ils n'ont pour le moment pas les moyens de déferler sur les sept couronnes mais on se doute que çà ne va pas durer...

Toujours aussi prenant, toujours aussi bien écrit, toujours aussi riche, ce quatrième tome se termine sur un "à suivre"...on sent et on espère que les évènements vont un peu se précipiter dans le tome suivant car même si l'histoire est belle, il ne se passe pas grand chose. C'est un romancier qui prend son temps, mais à l'instar des scénaristes de Lost, on espère qu'il sait où il va et qu'il livrera quelques uns de ses secrets avant la dernière saison, laquelle n'est encore ni publiée, ni même écrite à ce qu'il parait.

Un tome transitoire. Des stratégies se dessinent, des pions s'avancent, des trajets débutent, piétinent...bref des choses avancent mais il ne se passe pas autant de choses que dans le tome 2. C'est donc un opus de transition. J'espère que çà bougera un peu plus dans le suivant.

Cependant, pour un tome transitoire auquel on pourrait reprocher d'inutiles longueur, Martin trouve les moyens de rendre l'aventure captivante. On regrette peut-être de ne pas en apprendre plus sur certains protagonistes et peut-être un peu trop pour d'autres.

Toujours aussi motivé pour la suite, c'est l'essentiel.

Toujours une ambiance très sombre dans ce cinquième épisode... Stannis Barathéon est repoussé bien vite, mais il va surement vite revenir avec sa sorcière... je me prendrais presque d'amitié pour Tyrion qui sauve sa cité et son roi, mais qui est mis sur la touche par son père et sa soeur... dans ce tome, je regrette juste la caricature de Sansa (la belle sotte) et Joffrey (le gamin qui joue à l'homme)... mais sinon, toujours aussi prenant !