26 livres correspondent à cette oeuvre.
Il y a actuellement 11 notes de lecture correspondant à cette oeuvre (voir ci-dessous).
Mots-clés associés à cette oeuvre : 2007, abandon, amour, angleterre, cassettes, famille, famille sur plusieurs generations, femme, gallimard, grande-bretagne, guerre, homosexualite, litterature anglaise, maltraitance, photos, pluie, relation mere-fille, relations mere-fille, roman, saga, separation, transmission, violence
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[La pluie, avant qu'elle tombe | Jonathan Coe] |
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Message |
mamoune
Sexe: Inscrit le: 24 Sep 2005 Messages: 2135 Localisation: Ste Foy les Lyon (69)
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Posté: Dim 14 Mai 2017 15:49
Sujet du message: [La pluie, avant qu'elle tombe | Jonathan Coe]
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Un livre, une histoire que l'on peut lire tranquillement, comme par exemple un chapitre tous les soirs avant de s'endormir. En effet pas de rebondissement à attendre... au travers de 20 photos La voix enregistrée d'une femme qui vient de mourir nous raconte ses souvenirs, c'est beau et émouvant.
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[La pluie, avant qu'elle tombe | Jonathan Coe] |
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Message |
andras
Sexe: Inscrit le: 20 Sep 2005 Messages: 1800 Localisation: Ste Foy les Lyon (69) -- France
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Posté: Mer 06 Juil 2016 14:30
Sujet du message: [La pluie, avant qu'elle tombe | Jonathan Coe]
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C'est une histoire magnifique et tourmentée que nous raconte Jonathan Coe dans ce roman. On y découvre la vie de d'une lignée de femmes anglaises, Beatrix mère de Thea, elle-même mère d'Imogen, trois femmes dont une quatrième Rosamond va raconter le destin. Les thèmes de la maltraitance, de l'abandon, de l'homosexualité s'entremêlent avec celui de la résilience, même si ce terme n'apparait jamais dans le livre. J'ai beaucoup aimé cette histoire et le ton à la fois grave et léger - oui, deux choses contraires sont possibles dans la vie, c'est un des leitmotiv de ce livre - avec lequel Rosamond nous la conte, même si le choix de baser chaque chapitre de la narration sur une photo ne me semble pas une si bonne idée que cela mais basta, c'est un excellent roman que je recommande chaudement.
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[La pluie, avant qu'elle tombe | Jonathan Coe] |
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Message |
isamax56
Sexe: Inscrit le: 05 Fév 2009 Messages: 345 Localisation: bretagne
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Posté: Dim 08 Avr 2012 16:30
Sujet du message: [La pluie, avant qu'elle tombe | Jonathan Coe]
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Une vieille tante lègue 4 cassettes enregistrées décrivant 20 photos à une lointaine cousine aveugle, dont personne ne se souvient...Le roman est la description de ces 20 photos et comme celle à qui ces cassettes sont destinées, on comprend le besoin d'explications de cette femme, de se justifier sur sa passivité, son besoin de se racheter. C'est un vrai mélodrame, les personnages ne sont pas sympathiques, mais ils sonnent vrais. Je ne connaissais pas la région du Shropshire en Angleterre et j'ai très envie d'y aller ! Pour la petite histoire, la BO du film "La renarde" dont il est beaucoup question dans ce livre, est le fameux petit air des pubs Dim...
Un très beau roman, lent, triste, inévitable, que j'ai lu d'une traite.
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[La pluie, avant qu'elle tombe | Jonathan Coe] |
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Message |
maroni
Sexe: Inscrit le: 02 Jan 2009 Messages: 937 Localisation: Paris
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Posté: Ven 05 Nov 2010 17:57
Sujet du message: [La pluie, avant qu'elle tombe | Jonathan Coe]
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Une oeuvre intéressante, qui m'a fait plaisir. Car je ne trouve guère une place précise dans mon Panthéon pour cet auteur qui manque de profondeur, selon moi.
Bien sûr c'est un avis personnel mais qui est le fruit de lectures de Testament à l'anglaise, Bienvenue au club, etc.
La pluie avant qu'elle tombe, outre son titre si énigmatique, accrocheur et... plein de signification, c'est le roman de vies qui se rencontrent, se mêlent, se quittent, se retrouvent, comme souvent. Pourtant Jonathan Coe développe ici des hstoires qui finissent mal en général. Comme la vie...
Bref on ressort avec un goût de feuilles trempées de pluie et ces feuilles, ces feuilles de pensées sur la solitude, sur le destin, on les mâchonne, je pense, longtemps après avoir fermé ce livre.
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[La pluie, avant qu'elle tombe | Jonathan Coe] |
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Message |
Chimèle
Sexe: Inscrit le: 29 Juil 2007 Messages: 123 Localisation: Drôme
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Posté: Lun 01 Nov 2010 18:38
Sujet du message: [La pluie, avant qu'elle tombe | Jonathan Coe]
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Un roman que je n'ai pas pu lacher avant la dernière page. Le beau récit d'une histoire familiale, celle des femmes, à travers vingt photos, choisies par Rosamond, pour transmettre et peut-être comprendre.
J'ai lu que l'histoire était mélodramatique et le procédé (les photos) un peu convenu. Peut-être, mais la mise en oeuvre est magistrale et l'auteur nous entraîne dans le récit, nous émeut, nous donne à voir et à penser. Et n'est-ce pas ce que l'on attend d'un roman ?
NB-Le Shropshire (aux confins du Pays de Galles) dont j'ignorais jusqu'au nom, semble être une région superbe de l'Angleterre et elle est décrite magnifiquement.
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[La pluie, avant qu'elle tombe | Jonathan Coe, Serge Ch...] |
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Message |
Gouzou
Sexe: Inscrit le: 26 Mai 2010 Messages: 3
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Posté: Sam 12 Juin 2010 23:22
Sujet du message: [La pluie, avant qu'elle tombe | Jonathan Coe, Serge Ch...]
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Un vrai coup de coeur ! A travers vingt photos, Rosamond laisse à Imogen l'Histoire de sa vie. Imogen est devenue aveugle, ce qui pousse Rosamond à s'enregistrer dans le but de décrire chaque photo. Ce roman est extrêmement bien construit. C'est à travers la description de ces photos que l'on découvre la vie de quatre femmes très attachantes. Un roman très poignant.
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[La pluie, avant qu'elle tombe | Jonathan Coe] |
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Message |
Max
Inscrit le: 10 Aoû 2006 Messages: 403
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Posté: Lun 04 Jan 2010 14:12
Sujet du message: [La pluie, avant qu'elle tombe | Jonathan Coe]
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Rosamond vient de mourir. A sa nièce Gill, elle lègue la mission de retrouver Imogen afin de lui remettre une vingtaine de photographies ainsi qu'une série de cassettes audio. Ne retrouvant pas Imogen, Gill va écouter les cassettes sur lesquelles sa tante raconte, à partir des photographies, et des années 40 à aujourd'hui, son histoire familiale. L'histoire de quatre générations de femmes maltraitées par leur mère : Ivy qui préféra son caniche Bonaparte à sa fille Beatrix, laquelle vit dans sa fille Thea la source de tous ses errements, laquelle fut contrainte de confier sa petite Imogen, aveugle, à une famille d'adoption. Rosamond dévoile ainsi, cliché après cliché, anecdotes après souvenirs, l'envers des sourires affichés : des mères égarées, des filles perdues, des femmes au-delà de toute consolation, et le désamour maternel dont on ne guérit jamais.
Je connaissais Jonathan Coe pour ses romans réalistes et satiriques, critiques sociales ou politiques relevées d'un humour caustique empreint de cynisme. Des romans à la construction complexe, avec une intrigue sophistiquée, un décor social très détaillé, une multiplicité de personnages liés les uns aux autres par un écheveau dense de relations. Avec La pluie, avant qu'elle tombe, il change radicalement de registre. Il propose ici un roman court, à la construction simple (20 photos, 20 chapitres), au style épuré. Il nous livre un mélodrame méditatif, une épopée intimiste, le portrait touchant d'une lignée de femmes marquées par le désamour et qui, de mères à filles, semblent se léguer le malheur en héritage.
Les critiques ont presque unanimement salué la "virtuosité" de ce livre "poignant" : j'ose à peine écrire que j'ai été un peu déçue... Certes, Jonathan Coe est un bon écrivain, ses personnages sont dessinés avec finesse, mais le procédé narratif, très rigide, cette succession de photos dont la description structure le roman, m'est apparu comme un "exercice de style" qui alourdit le récit. De plus la révélation finale est un peu décevante puisqu'on la devine en amont. Et alors que cette histoire est de bout en bout tragique, elle ne m'a finalement que peu touchée. Peut-être trop "bluette" ? Et à aucun moment je n'ai retrouvé cet humour sarcastique que j'aime tant chez Coe...
Reste qu'il se dégage de cette histoire douce-amère une certaine atmosphère, mélancolique, désenchantée, une douceur sous la grisaille, presque confortable, et en même temps nimbée de chagrin. Le tout lié à une réflexion sur le temps qui passe, sur les occasions manquées : au fil de la narration, au fil des générations, se pose la question des hasards, de la destinée, des coïncidences, des drames à répétition. Hasard ou destin, qu'est-ce qui régit nos vies ? Le destin a-t-il un sens ou n'est-ce qu'une chimère, comme la pluie, avant qu'elle tombe : « Il faut qu'elle tombe, sinon ce n'est pas de la pluie », explique Rosamond à Thea, enfant. « Bien sûr que ça n'existe pas, elle a dit. C'est bien pour ça que c'est ma préférée. Une chose n'a pas besoin d'exister pour rendre les gens heureux, pas vrai ? »
le cri du lézard
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[La pluie, avant qu'elle tombe | Jonathan Coe] |
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Auteur |
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Message |
Automnale
Sexe: Inscrit le: 30 Oct 2007 Messages: 576 Localisation: Montigny le bretonneux
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Posté: Mer 26 Aoû 2009 17:39
Sujet du message: [La pluie, avant qu'elle tombe | Jonathan Coe]
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Un roman bien écrit. Un peu lent. Pour prendre un peu son temps, pour suivre un parcours plein de sensibilité, avec une idée de destinée ou d'impuissance face aux forces en jeu dans nos vies.
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[La pluie, avant qu'elle tombe | Jonathan Coe] |
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Message |
Astazie
Sexe: Inscrit le: 14 Avr 2009 Messages: 391 Localisation: Normandie
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Posté: Mer 27 Mai 2009 9:04
Sujet du message: [La pluie, avant qu'elle tombe | Jonathan Coe]
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Rosamond ,défunte laisse derrière elle 20 photos et des cassettes enregistrées ,destinées à une certaine Imogen.C’est à Gill, la nièce et exécutrice testamentaire de la vieille dame, de retrouver Imogen et de lui transmettre cet étrange legs. Mais sa trace s’est effacée et Gill – en compagnie de ses filles – écoute elle-même le testament sonore, comme l’a recommandé sa tante. En vingt stations, comme on le dirait d’un chemin de croix, se déroulent l’enfance, la jeunesse et la maturité de Rosamond. Et de toutes ces femmes qu’elle a rencontrées, adorées, perdues.
Je trouve que ce roman est mélancolique ,il se lit très bien .
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[La pluie, avant qu'elle tombe | Jonathan Coe] |
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Auteur |
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Message |
parsifal
Sexe: Inscrit le: 16 Sep 2007 Messages: 457 Localisation: Belgique
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Posté: Mer 01 Avr 2009 21:37
Sujet du message: [La pluie, avant qu'elle tombe | Jonathan Coe]
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Par le biais de quelques cassettes, la défunte Rosamond, a enregistré l'histoire de sa famille pour que sa nièce Imogen (disparue de la vie de la famille depuis des années) puisse connaître ses origines.
L'héritage que Rosamond a laissé aux deux fils de sa soeur et à sa nièce Imogen prévoit que Gill, une des trois héritières, cherche Imogen pour lui délivrer les cassettes et 20 photos (où les enregistrements détaillent minutieusement comme des instants fondamentaux de la vie de trois générations de femmes de la famille, et qu'Imogen, aveugle depuis l’enfance, ne pourra jamais voir).
En s’inspirant vraiment des photos qui, chronologiquement de la IIème Guerre Mondiale à maintenant, sont décrites, on finit par découvrir une histoire de choix difficiles, d'amours compliquées, d'amitiés brisées, de pertes douloureuses, de fuites inutiles. C’est vraiment par la faible voix de Rosamond qui se meurt qu'arrivent les révélations les plus déconcertantes sur un ton d'acceptation sans regrets.
C’est une bonne idée, mais je trouve le développement un peu faible surtout parce que le roman touche des thèmes difficiles comme la psychologie féminine (les protagonistes sont toutes des femmes, les hommes ont un rôle marginal), l'euthanasie, l'homosexualité, la guerre, les rapports impossibles entre des générations différentes et la violence sur les enfants, sans rien approfondir (si non de la vision de la voix narrante de Rosamond de quelques détails).
Cela n’enlève pas à ce roman qu’il soit agréable et se lise très rapidement.
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[La pluie, avant qu'elle tombe | Jonathan Coe] |
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Message |
sentinelle
Sexe: Inscrit le: 26 Juin 2007 Messages: 228 Localisation: Bruxelles
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Posté: Jeu 22 Jan 2009 11:08
Sujet du message: [La pluie, avant qu'elle tombe | Jonathan Coe]
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La Pluie, avant qu'elle tombe est le dernier roman de Jonathan Coe, un auteur que j’aime beaucoup et qui ne m’a jamais déçue. Ce roman ne fera pas exception à la règle, même si je le trouve très différent de ceux que j’ai lus précédemment.
Revenons d’ailleurs un peu à ses précédents romans avant de commenter sa dernière parution, qui surprendra ses fans de la première heure. Jonathan Coe, considéré comme l'un des auteurs majeurs de la littérature britannique actuelle, a connu son premier succès en France avec son époustouflant roman Testament à l’anglaise. Satire au vitriol de l'establishment britannique des années Thatcher à travers l'analyse de chaque membre d'une illustre famille anglaise occupant tous les postes-clés dans l'Angleterre des années quatre-vingt, Jonathan Coe combine analyse politique, sociale, psychologique avec ce qu'il faut d'humour british et de cynisme pour nous concocter un roman d'une grande réussite. Suite à cette grande fresque du temps du thatchérisme, il poursuivra dans la même veine politique avec le dyptique Bienvenue au club et Le cercle fermé, mais cette fois en abordant les années 70 dans le premier tome et le blairisme des années 90 dans le second tome. Si ces deux ouvrages sont à nouveau très ancrés dans la vie politique de l’Angleterre contemporaine, Jonathan Coe n’en oublie pas pour autant de combiner la petite histoire à la grande histoire en suivant pendant toutes ces années l’évolution de ses personnages, de l’adolescence à l’âge adulte. Le cercle fermé approfondit notamment le passage délicat de la quarantaine, âge charnière où tous nos choix et nos actes se confrontent à nos idéaux de jeunesse et où l’heure de régler les questions laissées en suspend s’impose pour aller de l’avant au risque de rester sur les quais définitivement. Pour être tout à fait honnête, je pense que ses autres romans, Les nains de la mort et La femme de hasard, jouent sur un autre registre que ceux cités ci-dessus mais je ne saurais en dire plus dans la mesure où je ne les ai pas encore lus.
Son dernier roman, La Pluie, avant qu'elle tombe , se différencie nettement de ses précédents romans politiques dans la mesure où il se veut plus intimiste que ces prédécesseurs. S’il délaisse la critique politique teintée d’ironie toute britannique, c’est pour mieux nous mener vers un roman plus sombre et plus mélancolique que jamais, plus centré aussi sur une même thématique et une même tonalité. Un roman plus simple, plus linéaire, plus feutré, à l’intrigue moins complexe mais au récit plus pur, plus intime, plus grave, plus concentré aussi.
La Pluie, avant qu'elle tombe est l’histoire de trois générations de femmes, Beatrix, Thea et Imogen. Si nous transmettons notre matériel génétique à notre descendance, nous lui transmettons également nos doutes, nos frustrations, nos colères, nos nœuds jamais dénoués, nos douleurs aussi. Il se fait que cette transmission sur trois générations de femmes, mères et filles se léguant le malheur en héritage, aura un témoin : Rosamond, une vieille tante qui vient de décéder. Rosamond s’en est allée en laissant au préalable une confession enregistrée adressée à la mystérieuse Imogen, perdue de vue depuis des années. S'appuyant sur vingt photos soigneusement choisies, Rosamond laisse libre cours à ses souvenirs et raconte, des années quarante à aujourd'hui, l'histoire de ces trois femmes. Quatre cassettes de 90 minutes que nous écouterons à notre tour et où seront commentés les photos d’un album imaginaire au son de la voix d’une femme aujourd’hui disparue…
Si nous entrevoyons quelque peu l'Angleterre de la seconde moitié du XXe siècle (que ce soit l’Angleterre sous le Blitz, la vie rurale dans le comté du Shropshire après la guerre ou la difficulté de vivre son homosexualité dans les années 70), ce n’est définitivement pas le propos de Jonathan Coe. Il privilégie avant tout le romanesque et le roman psychologique où la fragilité des existences, l’engrenage des répétitions, l’absence du hasard et le poids de la destinée se font la part belle, au point qu’il pourrait susciter à ce niveau une certaine irritation aux tenants d’une vie librement choisie.
Pour terminer ce billet, je dirais que ce roman ne ressemble pas à ces prédécesseurs dans sa forme mais bien dans le fond, certaines thématiques et certaines tonalités refaisant invariablement surface, comme la nostalgie, la mélancolie, le doute ou le regret, qui semblent ici bien plus marqués dans la mesure où il ne recourt plus à cet humour et cette causticité qui faisaient un peu sa marque de fabrique et qui contrebalançaient dans ses précédents romans cette gravité pourtant déjà bien présente.
Un mot aussi sur l’écriture très fluide et très agréable de l’auteur, ce qui ne gâche rien ;-)
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