Paulo Coehlo est un "auteur mondial" et à ce titre, il m'a paru intéressant de le connaître d'autant qu'il avait plu à ceux et celles qui m'en parlaient.
Aussi ai-je lu le Pélerin de Compostelle". C'est bien foutu, c'est un livre attirant mais lorsqu'on le referme le philtre n'opère plus.

P. Coehlo a du talent mais ne l'utilise-t-il en choisissant la m-façon la plus facile de faire du cash, nonobstant les arguties morales et spirituelles qui donnent corps à sa production ?

Je ne vais pas mettre bien longtemps à oublier ce délire mystico-religieux. Et comme ce livre tient de l'autobiographie, je ne vais pas m'aventurer de si tôt à lire un autre roman de cet auteur.

Un peu trop mystique à mon goût. Pourtant je n'ai rien contre le mystique, au contraire, je trouve que ça ajoute du mystère, du rêve, de l'évasion. Mais là, je ne sais pas, ça n'a pas trop pris.
Au début du pélerinage, ok, c'est pas mal ; et puis au fur et à mesure, ça devient lassant, toutes ces pensées plus ou moins restrictives voire peu recommandables, jusqu'à des considérations religieuses qui ne m'intéressent pas. En tout cas, à partir d'un certain moment, j'ai pas mal décroché, pour, bizarrement, re-accrocher vers la fin.
Malgré tout, c'est une histoire très agréable, un récit de voyage que j'ai suivi avec intérêt ; en laissant de côté, donc, les aspects mystiques qui m'ont lassée, sans jamais vraiment m'ennuyer.