Le dernier volet de la trilogie nous emmène jusqu'aux rives de l'Indus où s'achève l'empire d'Alexandre. Un empire bien fragile car, sur le chemin du retour en Grèce, Alexandre devra châtier les gouverneurs auteurs de pillage ou corrompus des provinces qu'il leur a confiées.
Mais son désir de conquête n'était pas épuisé car, âgé de 33 ans, il rêvait d'une expédition maritime pour explorer le golfe persique et la péninsule arabique.

Alexandre, à la tête de son armée, a pénétré en Perse et repoussé l'armée du roi Darius. Renonçant à la poursuivre, il préfère s'emparer des ports et villes côtières pour éviter que la flotte perse ne le prenne à revers.
C'est ainsi qu'il va poursuivre son avancée jusqu'en Egypte où il paiera la construction de la ville d'Alexandrie.

Alexandre, le fils d'Olympias et du roi Philippe de Macédoine qui va combattre les cités pour les réunir dans la ligue panhellénique, sera éduqué par Aristote.
Impressionné par les chants de l'Iliade d'Homère racontant la guerre de Troie et les exploits d'Achille qui se sont déroulés un millénaire plus tôt, Alexandre est conscient très jeune qu'il aura un destin hors du commun.

Au début de cette lecture, j'étais dubitative: ce roman est vraiment très romancé, et la psychologie des personnages est totalement irréaliste (tout le monde est beau, intelligent, courageux, etc...).
Mais l'histoire est passionnante, alors je me suis rapidement laisser emporter malgré cette réserve. Je suis maintenant plongée dans la trilogie et j'ai hâte de connaître la fin. Même les scènes de batailles de m'ennuient pas!!