Grande fan d'A.N, je dois dire que Journal d'Hirondelle est loin d'être mon préféré. J'ai eu une grande sensation d'inachevée à la fin de ma lecture mais c'est sans doute une manière de laisser la porte ouverte à toutes possibilités imaginées par le lecteur. Néanmoins elle m'a emportée tout de même une fois de plus car son style est irrésistible... En bref, ce n'est pas le meilleur mais c'est loin d'être mauvais également^^

Un petite histoire, vite écrite, qui pose un nouvel amour paradoxal, dont les péripéties auraient été chronologiquement mélangées. Un mystère n'est pas résolu.
Ce n'est pas déplaisant du tout à lire, mais très vite, l'amoureux et surtout l'objet de son amour m'ont été indifférents.

rien que de voir ce titre je fais un bond en arrière...:désespérement désolant
je l'avais reçu lors du Goncourt du BC et depuis, il stationne chez moi...je vais le libérer à Belfort ce WE

Pour une fois, je n'ai pas accroché. Je crois que c'est à cause de l'histoire, que j'ai trouvé bizarre, un tueur à gage qui tombe amoureux d'une jeune fille qu'il a tuée, puis a lu son journal intime... pour finir par le manger (le journal) et en mourir. Bizarre...

----

Ce livre est lâché par l'équipe de bibliothécaires du Val d'Orge dans le cadre des Chemins de lecture du 13 au 21 octobre 2007.

Ville du lâcher : Morsang-sur-Orge - Date du lâcher : 13/10/2007

J’avais une certaine appréhension avant de commencer ce livre, à force d’avoir entendu tout le monde le descendre depuis sa sortie (« un pur navet », « aucun renouvellement », « elle se fiche du monde avec ses 20 pages »…).
C’est mon troisième roman de la demoiselle Nothomb, autant dire pas grand’chose face aux inconditionnels. Je ne suis donc pas en mesure de savoir si c’est du réchauffé ou non.
Les deux premiers m’avaient donné une impression de malaise à la lecture mais j’avais apprécié le style ; j’ai eu le même sentiment encore une fois. Le héros est totalement sorti du cadre social, il tue pour le plaisir, il a besoin de sa dose quotidienne pour se sentir bien.
J’aime le style d’écriture, même si l’histoire n’est pas non plus renversante. Mes bémols seraient les suivants : pourquoi le héros a-t-il tant besoin de se tripoter après chaque meurtre ? on a compris qu’il était pas bien dans sa tête – Radiohead, j’aime bien, mais pas toutes les 3 pages – certains passages de la fin sont un peu trop faciles.
En bref, ce dernier opus n’est pas transcendant, mais il est agréable à lire et je ne l’ai pas trouvé si mal que ça, en tout cas il ne me semble pas mériter tout l’acharnement auquel il a eu droit (ou elle, parce que j’ai l’impression qu’on a fait le procès de l’auteur et non pas du livre…). *je précise que je ne parle pas des notes de lecture de l'agora, mais de critiques glanées ça et là, sur le Web ou dans des revues*

J'ai été déçue par ce dernier roman d'Amélie, je m'attendais à mieux d'elle. L'histoire devient interessante tard dans le livre, et de façon superficielle, laissant le lecteur un peu dans la frustration.
Pour ce qui est de l'écriture là encore j'ai été déçue, ce n'est pourtant pas particulièrement mauvais. Question d'humeur peut-être.

Bon ! J’avoue que je suis assez fan d'Amélie en général mais cette fois ci, je suis un peu déçu. Pas que ce livre soit désagréable ni barbant, mais là visiblement, il me manque quelque chose. Peut-être un peu trop d’attente pour le nouveau Nothomb ? Un peu comme si on m’avait promis un grand restaurant et que l’on m’y serve un casse-croûte à la sauce Amélie. C’est délicieux mais je reste sur ma faim. Vous n'auriez pas une part de dessert ? Vraiment trop court dans tous les sens du terme.