Cinq nouvelles de science-fiction qui plairont sans doute aux amateurs de La quatrième dimension.
Ce qui est frappant, à la lecture de ces textes écrits dans les années cinquante, c'est notamment l'aspect visionnaire concernant l'invasion des médias dans nos vies (L'assassin), ce qui est également le cas dans Fahrenheit 451.
Aucun commentaire sur l'édition bilingue, car je n'ai pas eu le courage de lire la version originale. Je ne peux donc pas évaluer la qualité de la traduction. Ceci dit, les descriptions sont remarquables, particulièrement dans La pluie, qui dépeint les paysages vénusiens délavés et ramollis par les incessantes chutes d'eau.
Très bon bouquin, mais 1/2 étoile de moins tout de même, car je crois déceler une petite pointe de misogynie. Inhérente à l'époque?