Le pauvre narrateur est terrorisé et déverse des hectolitres de sueur tant les crimes dont il est le témoin sont terrifiants. Cette phrase, que je viens d'écrire au sujet du village aux huit tombes, ne déclenche sûrement pas une émotion chez son lecteur. C'est ce qui m'est arrivé à la lecture de ce roman policier. Je n'ai jamais rien lu d'aussi platissime (la traduction ?) sans compter que le suspense se perd dans une multitude de personnages secondaires aux noms difficiles à mémoriser. J'ai calé à la page 159. Et je trouve ça méritoire. Bon. J'aimerais l'avis de quelqu'un d'autre, peut-être suis-je imperméable à la littérature japonaise ?