J'avais déjà lu "A la mystérieuse", il y a de nombreuses années et je connaissais d'autres poèmes isolés mais le recueil entier, gobé en deux jours, m'a fait imploser - agréablement.
Plus encore que dans les prétentions du verbe séduisant de Cyrano inspiré par Rostand, et évidemment plus que Solal récitant ses modèles verbaux chez Cohen, Desnos m'a fait l'effet d'être un poète lyrique irrésistible.
Je ne copie pas ici la
note de lecture, bien trop longue, je vous redirige vers mon blog, bien que, mangé par une publicité insupportable, je ne doute pas que ce ne soit une épreuve... Allez, j'y ai mis aussi quelques illustrations... :wink: