La narratrice, qui parle à la première personne, est la "maîtresse" et l'esclavagisme, avec son cortège de souffrances horribles, est pour elle une situation normale, elle n'a aucun doute. Il est donc difficile de s'identifier à elle mais on finit par y arriver grâce à la force de la narration et cela procure un certain malaise...
En résumé c'est une histoire dure mais très prenante écrite dans un style sec et direct.