Une histoire belle mais des fois un peu voire complètement loufoque... Et des fois un petit peu trop...

lu et relu ...toujours du pur bonheur d'écriture et de tendresse et toujours le même déchirement malgré l'humour salvateur

Réservé pour le challenge Boris Vian du 23/06/09.

J'ai lu ce livre quand j'étais ado. Il faudra bien que je le relise bientôt, parce que je ne sais plus trop ce qu'est cette histoire (triste) d'amour.
Je me rappelle juste que je l'avais trouvé formidable, et qu'il correspondait parfaitement à mes délires du moment. Vous savez, l'ado paumé, en proie à toutes les angoisses et les violences de l'âme, ben c'était moi aussi. L'adulte n'est qu'un ado refoulé... qui a pris les distances d'avec ses émotions, parce qu'on n'est plus des gosses...
Donc j'aurai du plaisir à le relire, même si c'est pas pour mettre plus de gaieté dans notre existence... ceci dit, si nous éprouvons de la joie de vivre (si, ça arrive), cela ne signifie pas du tout que le monde soit gai...

Un livre intense et émouvant, que j'ai lu, il y a pas mal d’années et qu’il m’arrive de relire avec plaisir. Ce roman exprime l'essence du surréalisme littéraire et pas seulement, il force les limites de la logique aristotélicienne, fondée sur les principes du nécessaire et du vraisemblable, pour donner corps à une réalité « folle » (la sur-réalité, justement), burlesque et tragique à certains moments, dans lequel se reflète la condition humaine.
Pour la chronique, Vian n'est pas un narrateur, mais un « inventeur », un poète, et « l'écume des jours » est une fable cruelle qui montre, à travers un radical changement, la fragilité de notre existence. Bravo Vian !

Ca fait la 2ème fois que je lis ce livre, et je ne sais pas quoi en dire qui n'ait pas encore été dit... Désolé.

Ce livre est sûrement l'un de mes préférés, il aborde un sujet poignant d'une façon surréliste et ironique. La mort est l'un des thèmes qui revient souvent au fil du roman, et les métaphores tournées par Vian sont très parlantes...

Chloé et Colin se rencontre sous l'estrade d'un meeting où pérore un certain Jean-Saul Partre et puis ils flirtent sous un petit nuage rose. Mais la vie, elle n'est pas rose et la petite souris aura de moins en moins de soleil. Un livre magique.

Mon livre préféré de Vian je pense où le choufleur (métaphore du cancer) détruit un couple

Quel livre, je crois que je voudrais ne pas l'avoir lu pour pouvoir le découvrire nouveau.