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Les notes de lectures recherchées

9 livres correspondent à cette oeuvre.

Il y a actuellement 9 notes de lecture correspondant à cette oeuvre (voir ci-dessous).

Notation moyenne de ce livre : (9 livres correspondant à cette oeuvre ont été notés)

Mots-clés associés à cette oeuvre :

[Tex. 699, Minaccia su New York | Gianluigi Bonelli ; Au...]
Auteur    Message
Franz



Sexe: Sexe: Masculin
Inscrit le: 01 Déc 2006
Messages: 1967
Localisation: Nîmes

Posté: Lun 13 Mai 2019 15:44
MessageSujet du message: [Tex. 699, Minaccia su New York | Gianluigi Bonelli ; Au...]
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Menace sur New York.
Alors que Tex vient de se confronter au groupuscule mercenaire à la solde du Maestro, ce dernier fomente déjà la contamination des réserves d’eau potable de New York afin de terroriser la population, de poser ses conditions et d’édicter ses propres lois. En parallèle, Nick Castle, bras droit du Maestro, a engagé Pat Mac Ryan, colosse Irlandais, ami de Tex et Carson, pour un combat de boxe mais Pat n’est qu’un appât pour attirer les rangers dans un piège mortel.
La 4e livraison d’un feuilleton au long cours clôt une aventure aux multiples personnages et rebondissements, brassant autant la guerre des gangs, le terrorisme, les attaques virales, les méthodes policières, les rapports communautaires, l’humanité des Freaks que la mise en scène théâtrale où la réalité se joue de la fiction. Tex Willer court sur les toits des immeubles et des trains tel un James Bond avant l’heure mais son intelligence, sa détermination et son adresse ne suffisent pas à contrecarrer les plans machiavéliques du Maestro qui dispose toujours d’une longueur d’avance. Le ranger est obligé de prendre des risques inconsidérés et d’agir sur le fil du rasoir. Maurizio Dotti s’est totalement investi graphiquement dans une histoire marquante. Il a multiplié les perspectives et les cadrages sans négliger les ombres portées et les reflets, travaillant les détails, les expressions, les décors sans jamais perdre en lisibilité. Sa bande dessinée est vivante, visuellement séduisante, travaillée et expressive, pour le plus grand bonheur des fans.
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[Tex. 698, Panico a teatro | Gianluigi Bonelli ; Aurelio...]
Auteur    Message
Franz



Sexe: Sexe: Masculin
Inscrit le: 01 Déc 2006
Messages: 1967
Localisation: Nîmes

Posté: Lun 13 Mai 2019 15:41
MessageSujet du message: [Tex. 698, Panico a teatro | Gianluigi Bonelli ; Aurelio...]
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Panique au théâtre
Tex Willer arrive à pactiser avec Low Yet, un mandarin du Chinatown de Manhattan, inquiet de l’emprise du Maestro dans le Milieu de la pègre newyorkaise qui entame les parts de marché des caïds locaux sans aucun état d’âme. Par l’entremise de Low Yet, le ranger réussit à s’approcher des deux hommes de main du Maestro, Muggs et Nick Castle. Face à l’échec de l’entreprise, Tex Willer convient qu’il lui faut interroger Tom Lee, chef de gang incarcéré mais là encore, le Maestro devance le policier texan. Plus tard, au Bowery Theatre, alors que Tex Willer et Kit Carson ont été sollicités par Buffalo Bill pour tenir leurs propres rôles sur scène et tirer avec des balles à blanc, le Maestro décide d’intervenir en personne, semant le carnage et l’effroi au grand dam des policiers débordés par le sang-froid meurtrier des gangsters.
Voici déjà le troisième volet d’un récit passionnant qui court sur quatre numéros du Tex Mensuel, (696-699) soit quatre-cent-cinquante-six pages dessinées d’une main forte par Maurizio Dotti. Mauro Boselli a imaginé une histoire qui joue entre apparence et réalité, masques et faux-semblants. Nick Castle, sous son air angélique, souriant et poli est un assassin de sang-froid. Sur la scène du théâtre, les balles peuvent être mortelles. Tout est possible, surtout le pire et Tex Willer semble naviguer à vue tant la réalité échappe à sa compréhension immédiate. Le lecteur n’a pas vraiment envie que l’aventure se close. Le Maestro, archétype de l’éternel ennemi, bouffon machiavélique nanti d’une face grotesque et dégoulinante, comme martelée par les mauvais traitements, est un vilain insaisissable que les coups ne semblent plus pouvoir atteindre.
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[Tex. 697, Manhattan ! | Gianluigi Bonelli ; Aurelio Gal...]
Auteur    Message
Franz



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Posté: Ven 26 Avr 2019 10:22
MessageSujet du message: [Tex. 697, Manhattan ! | Gianluigi Bonelli ; Aurelio Gal...]
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Manhattan !
Après qu’un fourgon de policier a été assailli par les membres d’un gang chinois dans le Chinatown de Manhattan et secouru par Tex Willer et Kit Carson, les deux rangers font connaissance avec Thomas Byrnes, chef de la police newyorkaise. Tom Lee, chef du gang Tong est incarcéré et interrogé par Byrnes afin d’identifier le mystérieux assassin qui a éliminé les deux chefs de bandes, MacManus et Glynn. Tom Lee révèle l’existence d’un mystérieux Jangshi dissimulé derrière un masque de vampire. Pendant ce temps, le gang des pirates irlandais de l’Hudson, le Hook gang, est attiré dans un guet-apens fomenté par le Maestro et ses deux acolytes, Nick Castle et Muggs. La police et les rangers vont enquêter autour de cet assassinat groupé. Les dards empoisonnés volent, les chausse-trappes s’ouvrent, les morts s’amoncellent et les pièges se referment selon une mécanique machiavélique.
La guerre des gangs dans le New York du XIXe siècle entre Chinois, Irlandais et le Maestro en point d’orgue se poursuit dans le 2e volet d’une aventure conçue sur 4 n°. Les deux rangers se sont immédiatement adaptés au milieu urbain, usant des poings et des colts comme il se doit mais laissant échapper le sournois et implacable Maestro, actif dans les coulisses, véritable terroriste avant l’heure. Maurizio Dotti réalise une grande œuvre dessinée, d’une parfaite lisibilité et d’une belle tenue.
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Auteur    Message
Franz



Sexe: Sexe: Masculin
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Localisation: Nîmes

Posté: Ven 26 Avr 2019 10:17
MessageSujet du message:
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L’ombre du Maître.
Après un prologue riche et intrigant sur l’île brumeuse présentant deux sombres assassins, le jeune et séduisant Nick Castle épaulé par une brute répondant au nom de Muggs, l’histoire s’ouvre ensuite avec l’arrivée des rangers Tex Willer et Kit Carson au pénitencier ultra sécurisé de l’Etat de Louisiane. Les deux policiers sont venus assister à l’exécution capitale d’Andrew Liddel connu sous le surnom de « Maître ». Le sinistre criminel au visage déformé par une dégénérescence évolutive semble aussi perdre ses facultés mentales. Connaissant le Maestro, les deux rangers soupçonnent la simulation. La pendaison du monstre n’éteint pas le malaise des policiers texans.
Mauro Boselli a concocté un riche récit qui va courir sur plusieurs centaines de pages que Maurizio Dotti, avec talent, met en image. Dès les premières cases, on sent que le dessinateur est un maestro. Rien que la mise en page de la première planche apporte du mouvement et embarque le lecteur vers l’île brumeuse. Le trait est précis, soigné et garde la vivacité de l’esquisse. Maurizio Dotti fournit un travail fouillé. Les paysages sont travaillés dans le détail avec un beau rendu des matières. Les personnages sont bien campés et les expressions faciales sont parlantes. L’histoire est accrocheuse et le lecteur suit avec entrain les deux itinéraires, celui du Maestro d’un côté et de l’autre celui des rangers, à New York, en compagnie de Buffalo Bill. Inévitablement, le Maestro et Tex Willer auront maille à partir dans les épisodes suivants.
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[Tex. 690, Le schiave del Messico | Gianluigi Bonelli ; ...]
Auteur    Message
Franz



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Posté: Mar 01 Jan 2019 19:40
MessageSujet du message: [Tex. 690, Le schiave del Messico | Gianluigi Bonelli ; ...]
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Les esclaves du Mexique.
Reynaldo Saldivar, manipulateur et cruel, s’engraisse odieusement avec le trafic de femmes mexicaines jusqu’à ce qu’un de ses convois se fasse attaquer par une bande dissidente menée par Julio Tejas. Anita réussit à s’enfuir et vient demander l’aide de Tex Willer et Kit Carson. Les rangers vont pister les despérados jusqu’à la ville fantôme de Villacruz mais ils ignorent encore qu’ils sont manœuvrés.
Le scénariste Pasquale Ruju a imaginé une histoire de dupes, entraînant habilement les célèbres rangers dans le cercle de feu qu’orchestre un marionnettiste habile et invisible jusqu’au règlement de compte final. Tenant en un seul numéro, l’aventure captive. L’action est tendue. Les colts chauffent. Les femmes rivalisent de beauté et de sensualité quand les hommes concupiscents grimacent et transpirent. Le dessinateur Giuseppe Prisco réalise aussi une belle partition dans ce concerto de mitraille. Le one-shot fait plus d’une victime mais réjouit le lecteur quand les sinistres méchants encaissent le retour du bâton.
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[Tex. 694, Kit contro Kit | Gianluigi Bonelli ; Aurelio ...]
Auteur    Message
Franz



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Posté: Jeu 08 Nov 2018 15:36
MessageSujet du message: [Tex. 694, Kit contro Kit | Gianluigi Bonelli ; Aurelio ...]
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Kit contre Kit.
Proteus enrôle des sbires et endosse des rôles afin de développer ses activités criminelles et de semer les rangers justiciers. Toujours en retard d’un train, Tex Willer et Kit Carson font le ménage à mesure de leur avancée, éliminant les intermédiaires mais le maître protéiforme a toujours une longueur d’avance, un coup tordu à jouer. Même le lecteur finit par douter en perdant le fil des métamorphoses du diabolique homme caméléon. Il faudra une confrontation brutale en Kit Willer, fils de et son sosie, Proteus en personne. Tex devra trancher dans le vif du sujet sans aucun droit à l’erreur.
Pasquale Ruju est un scénariste à l’aise avec les récits qui frisent avec le surnaturel. Proteus, par ses singularités et son absence totale d’émotion ou d’empathie, par ses capacités à renaître, éternellement fringant en dépit des années et des coups, ressemble à un dieu mauvais venu parmi les hommes pour attiser les bas instincts sous un masque impassible. Bruno Ramella est convaincant dans sa prestation graphique et clôt avec aisance la chevauchée tortueuse d’un Protée capable de rebondir une prochaine fois.
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[Tex. 693, Il ritorno di Proteus | Gianluigi Bonelli ; A...]
Auteur    Message
Franz



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Posté: Jeu 08 Nov 2018 15:29
MessageSujet du message: [Tex. 693, Il ritorno di Proteus | Gianluigi Bonelli ; A...]
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Le retour de Proteus.
Perry Drayton alias Proteus va mettre en œuvre ses capacités à se grimer et à endosser n’importe quelle physionomie pour tenter de s’extraire de la prison de Yuma, en Arizona où il est détenu sous haute surveillance. Une semaine plus tard, à Sanford situé dans l’ouest de l’Arizona, des desperados tentent un braquage de la banque mais rien ne se passe comme espéré par les bandits. Pour les rangers Tex Willer et Kit Carson, il semblerait que Mister P, le génie transformiste, ennemi récurrent, soit à nouveau en capacité de nuire. Invisible et insaisissable, Proteus pourrait sévir à Flagstaff, la ville de ses débuts dans le meurtre et la rapine.
Apparu dans Tex 86 « Rio Verde » (1967) et 87 « Yuma », puis resurgi dans Tex 185 « Il giudice Maddox » (1976) et 186 « L’uomo dai cento volti », continué dans Tex 316 « Il delitto di Kit Carson » (1987) et 317 « L’inafferabile Proteus », Perry Drayton, l’incarnation maléfique revient sur le devant de la scène du crime en 2018 avec le même allant et un aplomb similaire. Le scénariste Pasquale Ruju a repris le personnage créé par Bonelli et Gallep, l’insérant dans une histoire à tiroirs où Proteus sévit et rebondit, aussi évanescent que l’esprit du mal. Le dessinateur Bruno Ramella s’attaque sans complexe au fer de lance des éditions Bonelli, Tex Willer et s’en sort plutôt bien mais le western ne lui est pas étranger puisqu’il a réalisé de nombreux épisodes de Magico Vento. Son graphisme est lisible et expressif. D’un trait dynamique, il embarque le lecteur dans une chevauchée diabolique qui se poursuit et se termine dans le n° 694. A noter un nouvelle fois la remarquable couverture réalisée par Claudio Villa, jouant avec la pénombre, les reflets et les regards échangés, tout un art en apothéose.
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[Tex. 692, Johnny il selvaggio | Gianluigi Bonelli ; Aur...]
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Franz



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Posté: Mar 09 Oct 2018 13:53
MessageSujet du message: [Tex. 692, Johnny il selvaggio | Gianluigi Bonelli ; Aur...]
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Johnny le sauvage.
Johnny Wharton souhaiterait s’acquitter au mieux de la tâche confiée par Tex Willer mais les Apaches ravitaillés ne sont guère reconnaissants envers l’obole gouvernementale et un groupe de tuniques bleus se rend au trading post réclamer son dû comme convenu avec l’ex agent indien Desmond Barkley. Le sergent s’en prend violemment à Johnny et menace de l’occire jusqu’à l’intervention providentielle de trois jeunes guerriers Apaches. Face à lui-même, Johnny va devoir choisir son camp, celui, policé mais corrompu des Blancs ou celui des Indiens, proche des racines amères et de la Terre qui ne ment pas. Son destin va alors basculer jusqu’à la révélation finale.
Le récit finit de tresser les trajectoires des personnages et malgré des interventions bienveillantes et sensées, le questionnement existentiel de Johnny Wharton demeure sans écho et sans réponse. Le graphisme remarquable de Yannis Ginosatis travaille l’image dans le détail sans jamais perdre en visibilité. Parfaitement équilibrées et cadrées, ses compositions dynamiques et expressives entraîne le lecteur dans une course enchantée et mélancolique.
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[Tex. 691, Cuore Apache | Gianluigi Bonelli ; Aurelio Ga...]
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Franz



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Posté: Mar 09 Oct 2018 13:48
MessageSujet du message: [Tex. 691, Cuore Apache | Gianluigi Bonelli ; Aurelio Ga...]
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Cœur apache.
Elevé par le capitaine Wharton, Johnny Wharton, devenu adulte, est un Apache désireux de retrouver son lieu d’origine en se frottant à la culture indienne. Débarqué par la diligence au trading post où se trouve le bureau de l’agence indienne, Johnny découvre l’agent Barkley et ses deux acolytes en train de se faire corriger par le ranger Tex Willer. Le trio corrompu tire profit et détourne les denrées alimentaires de base destinées à la réserve indienne, affamant sans scrupule les Apaches au passage. Ayant expulsé les trois margoulins, après avoir fait amicalement connaissance, Tex propose d’aider Johnny dans sa quête identitaire en se rapprochant du grand chef Cochise, apte à se souvenir des événements passés. Le ranger propose aussi à Johnny de s’occuper de l’agence en attendant qu’un remplaçant officiel soit dépêché. Cependant, Barkley n’entend pas être dépossédé de ses revenus lucratifs et fomente déjà sa vengeance. Pour Johnny Wharton, rien ne va se dérouler sans heurt et remise en question.
Le scénariste Pasquale Ruju a superbement ourdi sa tragédie en posant savamment toutes ses composantes. Chaque protagoniste s’installe avec son histoire et ses désirs, ses capacités et ses élans mais des fils invisibles l’agite comme si le destin avait maille à partir avec les hommes. A une histoire forte répond le dessin habité de Yannis Ginosatis. Le dessinateur et illustrateur grec fournit un travail fouillé, précis, équilibré. Le lecteur conquis ne peut qu’être emporté par une histoire dense, émouvante et rude. Le récit se conclut dans le n° 692, « Johnny il selvaggio ».
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