C’est une magnifique histoire d’amour et d’amitié pour un homme Etienne, à la fois père, frère et ami, et sa femme, Fauvette. Deux êtres uniques qui continuent à s’aimer au-delà de la mort, un couple soudé et humain.
J’ai de suite été emporté par la magie des mots, par la légende, par la vie et la mort.
La narration est très progressive. L’atmosphère au début du roman est incertaine, floue.
On est dans le réel et l’imaginaire. On se sent un peu désemparé mais, au fil des pages, la promesse transparaît ….
Je m’arrête là, je me défends de dévoiler le mystère de ce livre et vous invite plutôt à le lire.
En épitaphe, l’auteur conclut son roman par un très beau poème d’Alfred de Musset, le voici :
« En marchant vers la mort il meurt à chaque pas.
Il meurt dans ses amis, dans son fils, dans son père.
Il meurt dans ce qu’il pleure et dans ce qu’il espère
Et sans parler des corps qu’il faut ensevelir
Qu’est-ce donc oublier, si ce n’est pas mourir. »
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