Bon ben je cale à la 300ème page !! :(
Pourtant les thèmes abordés dans ce roman, la vie/la mort, l'amitié, la famille, la naissance, la maladie etc.....me plaisent en général......mais encore faut-il que cela soit "bien écrit" !! Attention hein, ne me faite pas dire ce que je ne dit pas !! non c'est juste que son écriture à elle, cet espèce de langage parlé (à tout vitesse -elle est espagnole quand même- sans reprendre son souffle, sans ponctuation........me fatigue à lire à la longue et fini par prendre le dessus sur l'histoire !!
Tant pis !! :)

peut-être n'aurais-je pas du le lire juste après "un été prodigue" de Barbara Kingsolver!! un livre qui m'a emballée justement par son écriture tellement agréable à lire !! :wink:

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Ne serait ce pas un problème de traduction ?? mais finalement peu importe car quand la forme commence à prendre le dessus sur le fond... bienvenue dans le parcours du combattant ! j ai déjà vécu cela, particulierement avec des auteurs traduits du japonais ou d une autre langue "exotique". Mais la c est peut ètre le style délibéremment choisi par l auteur...

je pense que ICI c'est délibérement le style choisi de l'auteur !!
Donc je ne renouvellerai surement pas l'experience avec un autre roman de cette auteure !! pas grave hein avec tous ce qu'il y a à lire.

De la même Etxeberria j'ai lu Amour, Prozac et autres curiosités, et j'avoue que ce livre m'a vraiment dégoûtée. Classement vertical.

C'est un examen à la fois complaisant et agité des milieux de la nuit : drogués, semi-artistes, pervers médiocres, paumés... Ni la forme ni le fond ne m'ont plu.
Quand un livre m'a vraiment déplu, j'éprouve un sentiment de colère, plus contre l'éditeur que contre l'auteur, et je me défoule en jetant le livre.
C'est vrai qu'un livre de poche ne coûte pas très cher, mais là j'ai vraiment l'impression d'être un pigeon.

Dégoûtée? A ce point?

Amor, Prozac, y otras curiosidades est, si je ne me trompe, le premier roman de Lucía Etxebarría. Je l'ai lu il y a six ou sept ans, et j'en ai gardé un très bon souvenir. Il raconte la vie plus ou moins chaotique de quatre soeurs, les relations entre elles, comment chacune réagit aux coups durs de la vie...
Je ne sais pas du tout ce que vaut la traduction française, mais le style en espagnol n'est pas mal.
Je pense que toute espagnole de ma génération se reconnait, du moins en partie, dans l'une ou l'autre des soeurs (ou à un mélange de plusieurs des soeurs).
Ma mère l'a lu un peu plus tard (sans que je le lui aie conseillé), et elle avait aimé également...
Je dois avoir chez moi Beatriz y los cuerpos celestes, ou Nosotras que no somos como las demás (je ne sais plus lequel j'ai acheté! il est quelque part...) Et j'emprunterai à ma mère Un milagro en equilibrio (le livre lu par Mamoune), même si ma mère a moins aimé que Prozac...
C'est rigolo, j'étais à peu près sûre que un homme n'aimerait pas du tout Prozac..., mais que la plupart des femmes s'y retrouveraient, au moins un peu...

j'ai hâte d'avoir ton avis !!
Bonne lecture.