Logorrhée parfaitement indigeste, arrosée copieusement de bières, de Fine Napoleon et d'autres breuvages alcoolisés, assaisonnés d'extraits de pièces de Shakespeare et servie avec comme décor la prison de Strangeways où, en 1990, des prisonniers se mutinèrent pendant une dizaine de jours. Tout cela parsemé de scènes de cul d'une tristesse infinie. C'est à gerber ou à pleurer, comme on veut (le héros, lui, fait les deux).
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