- Aimez-vous les romans scandinaves gentiment loufoques comme "La douce empoisonneuse" d'Arto Paasilinna ou "Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire" de Jonas Jonasson ?
- Aimez-vous les romans imbriqués dans le roman, et plus encore quand les frontières s'estompent entre les différents plans de narration ?
- Aimez-vous quand l'histoire se déroule dans un lieu décrit de façon fort réaliste mais impossible à situer précisément sur une carte géographique ?
- Aimez-vous les recettes de cuisine et celles portant sur les spécialités scandinaves en particulier ?
- Plus précisément, êtes-vous fan de pölsa ?
- Aimez-vous l'art lyrique, les cantates, l'opéra ?
- Aimez-vous quand un personnage historique (dans le cas présent, un dignitaire du IIIe Reich) débarque dans une fiction et que tout le monde s'en fiche comme de l'an 40 ?
- Aimez-vous que le dernier chapitre d'un roman dresse l'inventaire de tout ce qu'il reste à écrire pour que l'histoire soit vraiment terminée ?
Si vous avez répondu "OUI" à toutes ces questions, vous allez adorer "Fausses nouvelles". Dans le cas contraire, rassurez-vous, il y quand même de grandes chances que vous aimiez "Fausses nouvelles" si vous aimez de temps en temps tourner le dos à la rationalité et que vous n'êtes pas allergique à la Pölsa, une spécialité suédoise dont il est abondamment question dans ce roman farfelu.
----
[Recherchez la page de l'auteur de ce livre sur
Wikipedia]