Au début de la Seconde Guerre Mondiale, les Italiens avaient mis au point des torpilles modifiées que des hommes-grenoulles pouvaient chevaucher. Amenées sur site par des sous-marins elles pouvaient être mises à l'eau que des hommes courageux (peu sont revenus de leurs missions) allaient piloter pour déposer des mines magnétiques sous la coque de navires à l'intérieur des ports ennemis (Gibraltar, Alexandrie).
Les Allemands opteront pour des sous-marins de poches avec un cockpit en plexiglas tandis que les japonais se lanceront (après avoir étudier l'armement italien) dans des sous-marins de poches lanceurs de torpilles.
Il ressort de ce livre que les échecs furent nombreux, du fait des grenadages défensifs mais aussi de problèmes techniques (faibles batteries, défaillances matérielles, bouteilles d'oxygène défectueuses...) mais malgré cela les tonnages coulés furent importants.
A noter la préface d'un certain capitaine de corvette J. Cousteau.
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