Résumé :
Written with love, humility, and faith, this brief but poignant volume was first published in 1961 and concerns the death of C. S. Lewis's wife, the American-born poet Joy Davidman. In her introduction to this new edition, Madeleine L'Engle writes: "I am grateful to Lewis for having the courage to yell, to doubt, to kick at God in angry violence. This is a part of a healthy grief which is not often encouraged. It is helpful indeed that C. S. Lewis, who has been such a successful apologist for Christianity, should have the courage to admit doubt about what he has so superbly proclaimed. It gives us permission to admit our own doubts, our own angers and anguishes, and to know that they are part of the soul's growth."
Written in longhand in notebooks that Lewis found in his home, A Grief Observed probes the "mad midnight moments" of Lewis's mourning and loss, moments in which he questioned what he had previously believed about life and death, marriage, and even God. Indecision and self-pity assailed Lewis. "We are under the harrow and can't escape," he writes. "I know that the thing I want is exactly the thing I can never get. The old life, the jokes, the drinks, the arguments, the lovemaking, the tiny, heartbreaking commonplace." Writing A Grief Observed as "a defense against total collapse, a safety valve," he came to recognize that "bereavement is a universal and integral part of our experience of love."
Lewis writes his statement of faith with precision, humor, and grace. Yet neither is Lewis reluctant to confess his continuing doubts and his awareness of his own human frailty. This is precisely the quality which suggests that A Grief Observed may become "among the great devotional books of our age."
J'ai acheté ce livre pendant mon voyage en Irlande du Nord, en juillet.
Vous saviez que Lewis était originaire de Belfast? Une maison - que je n'ai pas pu visiter, faute d'autonomie - lui est consacrée.
Bref, ce livre est tombé entre mes mains et je ne voyais pas au nom de quelle raison je ne l'aurais pas acheté. Je ne sais pas si ça vous fait ça, à vous, des fois...
Je l'ai lu une première fois, et je n'y ai rien compris.
Attendez, ce n'est pas tout-à-fait exact. En fait, comment exprimer ça? J'ai "senti" qu'il y avait un trésor vivant das ces pages, parce que je n'ai pas pu "rien comprendre" (j'ai quand-même un bon niveau d'anglais, je lis régulièrement en anglais...) J'ai donc attrapé des petits grains de raison et je me suis dit ouh-là, ici y'a du lourd (oui, je me parle comme ça)
MAIS ce livre m'a notamment permis de constater mes lacunes en vocabulaire. Le fond du problème est là. La plupart des livres que je lis en anglais comprennent tout au plus une dizaine de mots que je ne connais pas, et bien souvent le contexte de la phrase me permet de me passer de mon dictionnaire. Je comprends, quoi.
Ici, ce n'est pas du tout la même chanson : j'ai compté figurez-vous! En 76 pages, 222 mots que je ne connaissais pas, ou que j'avais déjà rencontrés, mais le contexte des phrases de Lewis ne m'aidait pas du tout!!!
J'imagine que la différence, c'est que Lewis n'était pas quelqu'un qui écrivait, c'était un écrivain, qui faisait des phrases un peu plus littéraires que les livres que je lis habituellement... Donc... mes carences étaient mises à jour!
J'ai dû le relire avec mon dico, et là, oui, vraiment, je peux assurer que ça valait le coup.
Lewis avait écrit une sorte de journal, dans lequel il retraçait tout ce qui se passait en lui après la mort de sa femme (cancer...) Ses doutes, ses peurs, mais aussi sa rigueur,etc. C'est un livre magnifique, que je ne saurais trop conseiller. Très honnête (tellement honnête, d'ailleurs, qu'il l'avait publié sous un pseudo!)
Une traduction française existe, oui, oui, j'ai recherché, mais pffffffffffffff, accrochez-vous pour la trouver! "Apprendre la mort", aux éditions du Cerf.
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