De la chicklit à l'état pur avec l'héroïne godiche-mais-pas-si-moche-ni-si-bête que l'amour révélera à elle-même, en milieu tertiaire, mon troisième roman dans le genre. Sympathique. Donne envie de commencer d'urgence un régime amaigrissant (Beth commence par perdre quelques kilos et un job valorisant lui tombe littéralement dessus, si ce n'est pas alléchant !...)
Il y a une satire du milieu people, probablement assez exacte, même si l'invraisemblance de quelques situations me paraît grande, à moi qui ne le fréquente pas
. Quant à la satire des conditions de travail hallucinantes du monde de la finance (au début du roman), je la retrouve dans beaucoup d'autres romans, ne parlons même pas de l'autre oeuvre de l'auteur ("Le Diable s'habille en Prada"), mais le "Bûcher des vanités" de Tom Wolfe, par exemple.
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