tu viens de mettre le doigt sur un truc intéressant.
pourquoi finit on les livres qu'on n'a pas aimé?

je crois qu'il y a différents degrés de désamour. (de l'anamour) parce que quand vraimant ça m'ennuie , j'abandonne. et j'en parle même pas ou alors très laconique dans les JE. heureusement ça m'arrive peu.

pour les autres, en cas de polar ou de sf je vais jusqu'au bout rien que pour connaître le dénoument.
pour les livres du bc comme j'ai pris ce livre guidée par une critique élogieuse je veux aller à la fin histoire de ne rein manquer (et de pouvoir bien le decendre si il m'a déçu jusqu'au mot fin.
(maintenant, je finis par savoir chez qui aller pour avoir des découvertes qui me séduiront).

pour les notes, je laisse un peu de temps rien que pour fignoler ou de vraiment l'assassiner.

pour la question sur le coté obscur, la bonne réponse était:
mais non mon cher Tony, tu n'es pas du tout du coté obscur tu restes un garçon charmant et plein de qualités...
à la rigueur, une remarque acidulée sur mon caractère bien trempé sera tolérée.

bon alors, déjà c'est pas pour te désobliger, mais je crois que tu t'es trompé: tu as créé un nouveau sujet au lieu de répondre à l'autre, mais bref.

et sinon, je suis assez d'accord avec toi sur le pourquoi on finit un livre malgré tout.
quoique jusqu'ici il y a finalement eu très peu de livres que je n'ai jamais fini. par jamais j'entends un livre laissé de côté et jamais (ou pas encore?) repris. en fait il y en a un seul auquel je pense: le nom de la rose d'umberto eco. tous les autres je les ai finis, même si parfois c'était en deux, voire trois fois (commencé, laissé de côté, repris, relaissé de côté)
ah! on me fait signe dans l'oreillette qu'il y a aussi "la vie sexuelle de catherine m" que je n'ai jamais pu finir, après l'avoir laissé de côté, repris, relaissé de côté, j'ai fini par définitivement le laisser de côté lors d'un mbc...

dernier point, et non des moindres, je persiste et signe, tony, tu ES passé du côté obscur, ne t'en déplaise (là ça tourne à la provocation)
note bien: le côté obscur, ça pourrait ressembler à l'enfer, plein de gens géniaux (gainsbourg, voltaire, ...)