José Saramago va sans doute bientot mourir. Après As Intermitencias da morte, pour expliquer la nécessité de la mort dans la vie, ses souvenirs d'enfance, très précisément rédigés, avec un souci pour retrouver les noms des rues et les noms des gens. plutot un passage en revue qu'une évocation de son enfance, avec quelques scènes très belles : l'histoire du chocolat, des promenades dans l'Alenteijo, la description de la maison des grands parents.
Comme de parler avec son grand pere dans la cuisine, en l'interrogeant pour essayer de retenir tous les éléments de sa vie passée.

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