Une très vieille légende, découpée en huit contes couvrant douze millénaires voire plus, donne une explication à l'apparition de la société canine. Selon celle-ci les chiens devraient leur faculté de parler et l'épanouissement de leur civilisation à une espèce mythique dont l'existence réelle est controversée : l'homme.
Ce serait lui qui aurait modifié génétiquement leur espèce puis se serait mis en retrait pour leur laisser le champs libre avant de disparaître complètement.
L'auteur offre une vision d'une société où la guerre, les villes et les crimes seraient inconnus, où une espèce possédant des sens plus étendus que celui des hommes créerait une philosophie plus humaniste.
Pour suivre cette évolution dans le temps il adopte le regard d'un robot, Jenkins, qui pourra se réparer ou changer de corps métallique, mais conservera une mémoire inaltérable même s'il fera le choix de ne pas permettre aux chiens d'y accéder.
L'auteur évoque aussi, en fin de volume, sa relation avec son éditeur qui lui a demandé d'ajouter une postface, non prévue à l'origine, à son livre.
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