Ce roman raconte librement les relations tumultueuses et passionnées que le poète Ted Hugues a eu avec Sylvia Plath puis Assia Wevill. Ces relations se sont terminées par le suicide de Sylvia Plath, puis quelques années plus tard, par le suicide de Assia Wevill.
L’achat de ce livre était irrésistible : le roman « La cloche de détresse » de Sylvia Plath fait partie de mon « top ten » personnel, et j’avais beaucoup aimé le roman « Belle-mère » de Claude Pujade-Renaud lu il y a quelques mois. Et je n’ai pas été déçue, ce livre est excellent.
Claude Pujade-Renaud essaye d’imaginer ce que ressentent et vivent les trois protagonistes. Ou plutôt, ce que ressentent et vivent les deux femmes. Ted Hugues reste opaque. Il faut dire que cette histoire vraie a de quoi exciter l’imagination : quelles étaient ces relations si tumultueuses qu’elles ont conduit deux femmes au suicide ? La littérature et la création ont-elles exacerbées les passions ? Comment Assia Wevill a-t-elle vécu dans l’ombre de Sylvia Plath ? De quoi écrire un roman psychologique passionnant…
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