J'avais un a priori négatif en commençant ce livre (long, ennuyeux...) mais j'ai quand même passé un bon moment avec le lieutenant Drogo au fort Bastiani. C'est un livre triste, surtout la scènne finale où il ivre son dernier combat seul face à la mort dans la chambre d'auberge.

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Lu il y a très longtemps, et comparé à Le Rivage des Syrtes de Julien Gracq qui m'avait marqué davantage, je constate que j'ai complètement oublié la conclusion que tu évoques. Il faut donc que je relise ce Buzzati, décidément.