Ma France d'après, c'est la vie sans toi.
En jours, en heures, en minutes sans toi. J'avais un amour et subitement, du jour au lendemain, après, j'ai eu un chagrin. Nicolas Sarkozy n'avait pas menti, sa rupture, c'était le jour et la nuit. La nuit pire que le jour. La faute au lit, au drap, à la couette encore imbibés de toi, à ta taie atone. Depuis ton départ, ton absence prenait toute la place. Plus Sarkozy envahissait l'espace, moins je supportais ta disparition.
Je m'étais légèrement fait avoir dans l'histoire. Lui tout le temps, toi plus jamais.