Ecrit dans une langue musicale (et joliment traduit), ce " roman oriental " revendique une forme moderniste, mélodique en diable, libre de toute règle, désintoxiquée de toute langue de bois, et une fidélité aux romans chinois qui brassaient les contes fantastiques et les souvenirs des bonzes, les chants et romances populaires, les épisodes des dynasties Han et Wei, les exploits des Ming et des Qing. " Jean-Luc Douin, Télérama.
" Ce livre fascinant est l'œuvre d'un peintre, d'un poète et d'un philosophe : de ses mille facettes, il éblouit tel un kaléidoscope d'une Chine éternelle, une Chine cruelle, parfois superbe, déchirée entre destructions et renaissances. " Diane de Margerie, Le Figaro.
" Un grand roman. La littérature chinoise des années 90, plutôt frappée de nécrose, devra désormais compter avec la force créatrice et les audaces de Gao Xingjian. " Alain Peyraube, Le Monde.
" L'intrépide Gao Xingjian vient d'écrire le plus déboussolant des romans : un guide du routard céleste dont les pages se dispersent sous les vents du large, comme des cerfs-volants. C'est un enchantement. " André Clavel, L'Express. |